Utilisateur:Kertraon/brouillon1
Olivier V : arbre
modifierAnnée | Ouest | Orient |
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2000 | 23 avril | 30 avril |
2001 | 15 avril | |
2002 | 31 mars | 5 mai |
2003 | 20 avril | 27 avril |
2004 | 11 avril | |
2005 | 27 mars | 1er mai |
2006 | 16 avril | 23 avril |
2007 | 8 avril | |
2008 | 23 mars | 27 avril |
2009 | 12 avril | 19 avril |
2010 | 4 avril | |
2011 | 24 avril | |
2012 | 8 avril | 15 avril |
2013 | 31 mars | 5 mai |
2014 | 20 avril | |
2015 | 5 avril | 12 avril |
2016 | 27 mars | 1er mai |
2017 | 16 avril | |
2018 | 1er avril | 8 avril |
2019 | 21 avril | 28 avril |
2020 | 12 avril | 19 avril |
2021 | 4 avril | 2 mai |
2022 | 17 avril | 24 avril |
Proposé (et adopté, avec modifs) :
Guillaume II de Clisson (vers 1260-vers 1300), seigneur de Clisson | ||||||||||||||||
Olivier III de Clisson (vers 1280-1320), seigneur de Clisson | ||||||||||||||||
Jeanne Bertrand de Bricquebec (vers 1260-?), héritière de Tuit | ||||||||||||||||
Olivier IV de Clisson (vers 1300-1343), chevalier banneret, sire de Clisson | ||||||||||||||||
Maurice VI de Craon (vers 1255-1292), seigneur de Craon | ||||||||||||||||
Isabeau de Craon (vers 1277-1350) | ||||||||||||||||
Mahaud de Mechelen (vers 1255-1306), dame de Malines | ||||||||||||||||
Olivier V de Clisson (1336-1407), Olivier de Clisson, connétable de France, sire de Clisson, de Porhoët, de la Garnache et de Belleville | ||||||||||||||||
Maurice III de Belleville-Montaigu (vers 1234-vers 1292), seigneur de Châteaumur | ||||||||||||||||
Maurice IV de Belleville-Montaigu (après 1260-1308), chevalier | ||||||||||||||||
Jeanne de Châteaumur (vers 1235-après 1286), dame de Châteaumur | ||||||||||||||||
Jeanne de Belleville (vers 1300-1359), Jeanne-Louise de Belleville-Montaigu, dame de Montaigu, dame de Palluau | ||||||||||||||||
Guillaume VI de Parthenay-l'Archevêque (après 1250)-après 1315), baron de Parthenay | ||||||||||||||||
Létice de Parthenay (après 1275-?) | ||||||||||||||||
Jeanne de Montfort-le-Rotrou (vers 1250-1291), dame de Montfort-le-Rotrou | ||||||||||||||||
à la place de :
┌──> Guillaume II de Clisson (vers 1260-vers 1300) │ seigneur de Clisson │ ┌──> Olivier III de Clisson (vers 1280-1320), │ seigneur de Clisson │ │ │ └──> Jeanne Bertrand de Bricquebec (vers 1260-?), │ héritière de Tuit │ ┌──> Olivier IV de Clisson (vers 1300-1343) │ chevalier banneret, sire de Clisson │ │ │ │ ┌──> Maurice VI de Craon (vers 1255-1292) │ │ │ seigneur de Craon │ │ │ │ └──> Isabeau de Craon (vers 1277-1350) │ │ │ │ └──> Mahaud de Mechelen (vers 1255-1306) │ dame de Malines │ Olivier V de Clisson (1336-1407), Olivier de Clisson, connétable de France sire de Clisson, de Porhoët, de la Garnache et de Belleville │ │ ┌──> Maurice III de Belleville-Montaigu (vers 1234-vers 1292) │ │ seigneur de Châteaumur │ │ │ ┌──> Maurice IV de Belleville-Montaigu (après 1260-1308) │ │ chevalier │ │ │ │ │ └──> Jeanne de Châteaumur (vers 1235-après 1286), │ │ dame de Châteaumur │ │ └──> Jeanne de Belleville (vers 1300-1359), Jeanne-Louise de Belleville-Montaigu dame de Montaigu, dame de Palluau │ │ ┌──> Guillaume VI de Parthenay-l'Archevêque (après 1250)-après 1315 │ │ baron de Parthenay │ │ └──> Létice de Parthenay (après 1275-?) │ └──> Jeanne de Montfort-le-Rotrou (vers 1250-1291) dame de Montfort-le-Rotrou
Intro proposée (adoptée) pour Adrien Romain
modifierAdriaan van Roomen, francisé en Adrien Romain, latinisé en Adrianus Romanus, né à Louvain (Flandre), le , mort à Mayence le , est un médecin et mathématicien de la noblesse flamande.
Il devient le premier professeur de médecine rémunéré de l'université de Wurzbourg[1], et le médecin personnel de l'évêque Julius Echter de Masselchprout.
Scientifique éclectique, ses domaines de prédilection varient de la géographie aux sciences physiques. Il est l'un des premiers à décrire les feux d'artifice, mais ce sont les mathématiques où il s'illustre le plus.
Prodigieux calculateur, l'un des plus remarquables de tous les temps selon son principal commentateur le R.P. Henri Bosmans[2], Adrien Romain effectue de nombreux travaux mathématiques. Élève de Stevin et Sarpi, il côtoie la plupart des scientifiques de son temps, qui le tiennent en grande estime, dont François Viète, Johann Kepler, le P. Clavius, Marino Ghetaldi, Ludolph Van Ceulen dont il est l'ami personnel, Willebrord Snell et Michel Coignet.
Il combat victorieusement l'humaniste Scaliger, recteur de l'université de Leyde, en mettant en évidence ses erreurs de quadrature du cercle. Il propose à ses confrères européens un défi mathématique resté fameux, et doit en retour relever un défi de François Viète dont il ne peut triompher dans les règles de l'art. Son écriture mathématique est à mi-chemin de l'école de la Coss, dont il est issu, et de l'algèbre nouvelle de Viète, dont il se montre un des meilleurs héritiers dans certains de ses travaux algébriques, avec Alexander Anderson, Marino Ghetaldi, Albert Girard et Jacques Aleaume. Il est le premier mathématicien à obtenir 16 décimales de π.
(notes)
modifier- C'est le titre même que prend Ruland pour son premier article « Adrien Romain premier professeur de médecine de l'université de Würzburg » dans Le bibliophile belge, volume 2, Bruxelles, Fr. J. Olivier, publié par la Société des bibliophiles de Belgique, 1867, p. 56 [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)]
- Henri Bosmans, « La méthode d'Adrien Romain pour effectuer les calculs des grand nombres », article de 1904 publié dans les Annales de la société scientifique de Bruxelles [lire en ligne]. Consulté le 29 septembre 2010 sur le site de l'université de Gand.