Tourmignies
Tourmignies est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Tourmignies | |||||
L'église Saint-Pierre de Tourmignies à l'entrée du village en venant de la petite route d'Attiches. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pévèle-Carembault | ||||
Maire Mandat |
Alain Duchesne 2020-2026 |
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Code postal | 59551 | ||||
Code commune | 59600 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
947 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 467 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 27″ nord, 3° 05′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 49 m |
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Superficie | 2,03 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Templeuve-en-Pévèle | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | [www.tourmgnies.fr] | ||||
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Le nom jeté des habitants de Tourmignies est les berlafards[1].
Géographie
modifierSituation
modifierTourmignies est située à l'est de la forêt domaniale de Phalempin et à 2,4 km de Mérignies, 2,7 km d'Attiches, 3,7 km d'Avelin, 5,1 km de Thumeries et 4,6 km de Mons-en-Pévèle.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Marque[2],[Carte 1].
La Marque, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Thumeries et se jette dans le canal de Roubaix à Wasquehal, après avoir traversé 25 communes[3].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Tourmignies est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,6 %), zones urbanisées (25,3 %), forêts (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponyme
modifierNoms anciens : Tourmegnies, en 1187, par titre de Saint-Piat, à Seclin (Mirœus). Thormengnies, 1222, cart. de l'abbaye de Vicognc. Tourmingnies, 1387, cart. de Loos. Tormengny.Tormengy.
Le nom viendrait d'un anthroponyme germanique, Thuramǣr : Thuramǣriacas, « appartenant à Thuramǣr » (nom formé de þuran, oser et de mǣri-, renommé)[16].
Histoire
modifierL'autel de Tourmignies, un terrage et d'autres revenus appartenaient au chapitre de Seclin, qui fut confirmé dans cette possession par une bulle du pape Clément III, .
La famille d'Assignies marque l'histoire de la commune, où elle possède des biens dont le domaine d'Assignies, sur lequel se trouve le vestige du château d'Assignies.
En 1478, Luc de Cuinghien, écuyer, époux de Jeanne du Bosquiel, est seigneur de Tourmignies[17].
La paroisse est le siège d'une seigneurie dénommé Scherbourg située sur Tourmignies, détenue aux XVIIe et XVIIIe siècles par la famille Scherer devenue ensuite Scherer de Scherbourg.
Diethelm Scherer, natif et originaire de Saint-Galle en Suisse, principauté de l'Empire (Saint-Empire romain germanique), né le , fils de Christophe assesseur au grand conseil de Saint-Galle et d'Anna Hegner, s'établit à Lille en 1626. Il reçoit le , des lettres données à Linz par l'empereur Ferdinand III, le faisant noble et l'autorisant lui et ses descendants à prendre la qualité de chevalier banneret et de porter le nom de Scherer de Scherbourg[18]. Il a été officier au service de l'Espagne pendant la Guerre de Trente Ans. Protestant d'origine converti au catholicisme, il aurait été fait chevalier de l'Ordre de l'Éperon d'or, ordre de chevalerie pontifical. À Lille, il est marchand, bourgeois de Lille le . Il épouse à Lille le Catherine Le Chire (1616-1648), fille de Jean et d'Élisabeth Persant, Catherine nait le et meurt le [19].
Guillaume-Eubert Scherer (1643-1720), écuyer puis chevalier, seigneur de Scherbourg, Le Prée et de Tourmignies, acquise en 1694, est le fils de Diethelm. Il est baptisé à Lille le , est d'abord négociant, devient bourgeois de Lille le , est confirmé dans sa noblesse et dans sa chevalerie par les États généraux des Provinces Unies le à qui il avait adressé une demande en ce sens. Il meurt le , à 77 ans, est inhumé dans l'église de Tourmignies. Il épouse à Lille le Marie-Catherine Ricourt (1653-1699), fille de Jean, marchand teinturier, bourgeois de Lille, et de Marie Briez. Elle est baptisée à Lille le ) et meurt le [18],[20]. Une autre version fait de l'épouse la fille de Sébastien Ricourt et de Marie Lefebvre[19].
Gabriel-Eubert Scherer(1679-1766), fils de Guillaume-Eubert, est chevalier, seigneur de Scherbourg, de Laprée (ou La Prée). Baptisé à Lille le , bourgeois de Lille le , il est créé chevalier par Philippe V le . Il meurt en 1766, à 86 ans, est enterré dans la chapelle Notre Dame de Tongres de l'église Sainte-Catherine de Lille le . Il prend pour femme à Lille le Isabelle-Catherine Carpentier (1682-1742), fille d'Anselme et de Marie-Jeanne le Gentil. L'épouse nait le et meurt le [21].
Gabriel-Eubert-Joseph Scherer de Scherbourg (1710-1787), chevalier, est seigneur de Tourmignies, Laprée, Scherbourg. Fils de Gabriel-Eubert, il est baptisé à Lille le , devient bourgeois de Lille le . Échevin de Lille, une ordonnance du l'inscrit au rôle des nobles de Flandre. Il meurt à Lille le , à 77 ans. Il épouse à Lille le Marie-Alexandrine Hespel (1715-1781), ( Famille d'Hespel) dame de Vendeville (les hommes sont seigneur de, les femmes sont dame de), Beaumanoir. Fille de Jean-Baptiste, écuyer, seigneur de Vendeville, bourgeois de Lille, receveur des Bonnes filles (hôpital pour orphelines)[22], elle est baptisée à Lille le et meurt à Lille le à 66 ans[23],[24].
Alexandre-Joseph Scherer de Scherbourg (1747-1790), chevalier, fils de Gabriel-Eubert-Joseph, est seigneur de Tourmignies, Ricarmez, Scherbourg, Vendeville. Il nait à Tourmignies le , devient bourgeois de Lille le . Il meurt à Douai le de la chute d'une planche tombée du beffroi, est inhumé à Seclin le . Il épouse à Lille le Élisabeth-Françoise-Pélagie Percourt (1750-1827), dame de Le Becq, fille de Gilbert-François-Joseph, écuyer, seigneur de le Becq, bourgeois de Lille, et d'Élisabeth-Thérèse (ou Charlotte-Thérèse[24]) Lefebvre, dame de Schoonvelde, d'Egouthières. L'épouse est baptisée à Lille le et meurt le , à 77 ans[25]. Pendant la Révolution française, elle se réfugie à Seclin avec sa fille Julie, mais est cependant inscrite sur la liste des émigrés. Elle n'en est rayée que le 9 fructidor an IX ()[24].
Au moment de la Révolution française, la seigneurie est détenue par Louis-Alexandre-Joseph Scherer de Scherbourg (1771-1847), chevalier, fils d'Alexandre-Joseph. Il est baptisé à Lille le et meurt le , à l'âge de 76 ans. Il épouse Marie-Rosalie-Sophie-Joseph de Surmont (1784-1860), fille de Philippe-Jacques-Joseph, écuyer, seigneur de Bersée, bourgeois de Lille, conseiller secrétaire du roi, et de Marie-Sabine-Joseph de Madre. Elle est baptisée à Lille le et meurt à Lille le à 76 ans[26].
Héraldique
modifierLes armes de la commune de Tourmignies se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
modifierMaire en 1802-1803 :J. J. Cauvez[28].
Maire en 1807 : Bottel[29].
Maire en 1881 : Cambier[30].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2021, la commune comptait 947 habitants[Note 3], en évolution de +9,23 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 448 hommes pour 448 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifierL'église Saint-Pierre-à-Antioche est classée Monument historique. Le patronyme est Chaire de Saint-Pierre à Antioche. Cette fête célèbre le pouvoir spirituel de Pierre, tant en orient (Antioche) qu'en occident (Rome). L'église est citée pour la première fois dans les textes en 1188. Elle dépendait de Seclin qui nommait le curé. Dans l'église, on y voit des fonts baptismaux en pierre de Tournai, qui portent une inscription. Il y existe une pierre tumulaire à la mémoire de M. Scherer de Vendeville, écuyer, officier des gardes wallonnes.
Le château d'Assignies, (Famille d'Assignies) construit entre 1870 et 1876 d'après les plans de Léon Ohnet et Henri Meurillon, appartenait à la famille industrielle lilloise des Boutry-Van Isselstein. Il a été détruit lors de la Première Guerre mondiale, en 1917.
Présentation de la salle des fêtes "Robert Bonte" située en face de la mairie de Tourmignies. Cette salle a été construite dans les années 1970, sous le mandat de Robert Bonte. Déconstruction en 2012, elle a été reconstruite en 2013 par l'architecte Boualem Chelouti.
Personnalités liées à la commune
modifier- Désiré-Joseph Dennel (1822-1891), futur évêque, y a passé toute son enfance[38].
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Tourmignies » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Tourmignies Au fil du temps »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Fiche communale de Tourmignies », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Marque »
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tourmignies et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Tourmignies ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 973 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
- Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 72, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 272-273, lire en ligne.
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 817, 821-822, lire en ligne.
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.396 (lire en ligne).
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 822-823, lire en ligne.
- Association du Musée Hospitalier Régional de Lille, « Lille - Maison des orphelines de la Conception de la Vierge, dit les Bonnes Filles », sur patrimoinehospitalierdunord.fr (consulté le ).
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 728-729, lire en ligne.
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 823-824, lire en ligne.
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.382 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.170-171 (lire en ligne).
- « labanquedublason2.com/lecture_… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 152-153. Images 182-183.
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
- « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tourmignies (59600) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Louis Baunard, Oraison funèbre de Mgr Dennel, 1891