Musée de l'université de Tübingen
Le musée de l'université de Tübingen (abrégé MUT[11]) est un établissement muséographique universitaire dont les collections sont installées dans le château Hohentübingen ainsi qu'au sein d'autres bâtiments de Tübingen, ville située dans le Land de Bade-Wurtemberg[6]. Le musée est créé en [7],[1].
Nom local |
Museum der Universität Tübingen |
---|---|
Type | |
Ouverture | |
Dirigeant | |
Surface | |
Visiteurs par an |
45 000 (2017)[4] |
Site web |
Collections |
Paléontologique, historique, minéralogique, ethnologique, archéologique, numismatique, botanique, informatique, astronomique, graphique, musicologique[6] |
---|---|
Genre | |
Époque | |
Nombre d'objets | |
Label |
Article dédié |
---|
Pays | |
---|---|
Land | |
Arrondissement | |
Adresse | |
Coordonnées |
Le musée de Tübingen est une institution centrale de l'université Eberhard Karls[11]. Le musée a pour mission de combiner les collections universitaires de manière organisationnelle, de professionnaliser et de constituer un laboratoire d'exposition pour l'université dans le cadre d'expositions changeantes et de collections afin de rendre « la recherche, l'enseignement et l'éducation utilisables et accessibles à un public plus large »[1].
Le museum de l'université de Tübigen est une structure faîtière qui réunit 70 collections[6],[12],[Note 1]. Le MUT a accueilli 45 000 visiteurs en 2017 et a reçu, en moyenne, 15 000 visiteurs par an depuis son ouverture[4].
Historique
modifierL'historique des collections du MUT est lié à celui de l'université Eberhard Karls, qui a plus de 530 ans d'existence[1].
De la fondation de l'université jusqu'à la fin du XIXe siècle
modifierLa collection de paléontologie — également désignée sous l'acronyme GPIT, pour Geologisch-Paläontologisches Institut Tübingen[14],[15],[16] —, débutée en 1477, avec la fondation de l'université de Tübingen, fait l'objet d'une première organisation systématique en 1837, par le géologue et paléontologue Friedrich August von Quenstedt[8],[9],[17].
La collection d'arts graphiques commence à être rassemblée par l'écrivain et essayiste allemand Karl Philipp Moritz à la fin du XVIIIe siècle, dans les années 1786-1788[18],[19]. Les œuvres picturales sont collectées lors d'un Grand Tour[18]. La collection, qui comprend des œuvres de Giovanni Battista Piranesi, Bertel Thorvaldsen, Angelica Kauffmann, Jean-Jacques de Boissieu, ou encore Pompeo Batoni sont également réunis durant des voyages entrepris par Kraft Ernst von Oettingen-Wallerstein, Johann Joachim Winckelmann et Sir William Hamilton[18].
L'historique de la collection de pièces de monnaie antiques (grecques et romaines) remonte à la fin du XVIIIe siècle[7]. Les monnaies antiques sont réunies par des membres de l'institut d'archéologie classique de Tübingen, institution déléguée de l'université Eberhard Karls[7],[20]. La collection s'enrichit à la fin du XIXe siècle et 4 800 monnaies sont acquises en 1981[7].
La collection de sculptures antiques de l'université commence à être constituée en 1836 par Ernst Christian Walz (en)[21],[22],[23] et Gottlieb Lukas Friedrich Tafel (de)[24].
La collection d'objet ethnologiques est constituée entre 1890 et 1910[25]. Durant la même période, la collection de pièces d'époque classique commence également à s'assembler : l'institut d'archéologie classique de Tübingen acquiert le mobilier archéologique mis au jour par Heinrich Schliemann en 1895, puis celui mis en évidence par Ludwig Schwabe (en) le [26], [27].
Du début du XXe siècle jusqu'à nos jours
modifierEn 1927, les collections d'objets archéologiques, installées dans la partie Ouest du château Hohentübingen, sont alors réparties au sein de 27 vitrines d'exposition sur une surface totale de 3 000 m2[28].
Plus récemment, en 1978, l'université Eberhard Karl fait l'acquisition de figurines mises en évidence au sein de la grotte de Vogelherd — site préhistorique inscrit sur la liste du patrimoine mondial —, par Gustav Riek, en 1931[29]. Les statuettes sont ultérieurement conservées dans la librairie de l'institution universitaire, puis sont transférées au château Hohentübingen en 1998[29]. Actuellement, les figurines retrouvées par Riek ainsi qu'une partie des découvertes réalisées depuis la campagne de fouilles de la Vogelherd en 2006 — notamment les pièces représentant un cheval sauvage, un mammouth, ou encore un lion des cavernes — sont en grande partie exposées au château de Tübingen[30],[31],[32]. Ces pièces constituent la partie principale de la collection de préhistoire ancienne du musée universitaire de Tübingen[32],[31],[33].
Le MUT possède une seconde collection de pièces de mobilier provenant des sites palafittiques des lacs alpins, un autre site inscrit sur la liste du patrimoine mondial[34]. Cette collection comprend, entre autres, des céramiques du Néolithique et des artefacts semi-fini d'un artefact issus d'un site localisé à Bodman-Ludwigshafen, près du lac de Constance[35].
Entre et , le MUT s'associe au musée Linden pour réaliser un projet de recherche dans le domaine de l'ethnologie. Le partenariat entre les deux institutions muséographiques a pour objectif de centraliser des travaux effectués sur des pièces issues d'anciennes colonies allemandes[36],[37].
Localisation
modifierLe MUT est situé dans la ville universitaire de Tübingen, arrondissement et district de Tübingen, en Bade-Wurtemberg[6].
Les collections du musée sont abritées dans plusieurs bâtiments de la ville de Tübigen. Le musée est ainsi notamment réparti dans le château Hohentübingen, dans la Nouvelle Aula, dans la bibliothèque universitaire, à l'institut de géologie et de paléontologie[38],[39], dans les bâtiments du quartier de Morgenstelle (de), et dans les bâtiments se trouvant dans l'enceinte du jardin botanique[6].
L'ensemble des collections archéologique — préhistorique, classique, égyptologique, assyriologique, médiévale et biblique — ainsi que les séries numismatique et ethnologique sont conservées au Alte Museum, dans château de Tübingen[5]. Le Alte Museum recouvre une surface totale de 2 000 m2[5].
-
Id.
-
Façade de la Neue Aula.
-
Bibliothèque universitaire.
-
Bâtiments de Morgenstelle.
-
Bâtiments du jardin botanique.
-
Laboratoire.
Collections
modifierLes sections ci-dessous présentent un panorama non exhaustif des 70 collections du musée[40] et des objets qui les composent[41].
Collections artistiques d'époque moderne
modifierCollections de peintures
modifierLa collection de peintures de l'université de Tübingen présente une collection assez disparate d'œuvres individuelles d'une qualité, d'une provenance et d'une signification tout à fait différentes[42]. Outre les deux grandes collections de peintures du diplomate wurtembergeois Christoph Friedrich Karl von Kölle (de) et les quelque 300 portraits de la galerie des professeurs de Tübingen, cette collection contient cependant une œuvre exceptionnelle du photographe, peintre et astronome d'Offenburg Julius Grimm (de) intitulée "Portrait de la pleine Lune" exposée dans la salle des chevaliers du château Hohentübingen[42]. Une autre pièce de la collection, le "Tübinger Schandtafel", commémorant la lutte de pouvoir entre le duc Ulrich de Württemberg et la ligue souabe en 1519, se trouve au musée des cultures anciennes[42].
La collection de l'Institut de prédication évangélique de l'Université de Tübingen comprenant des peintures du XVIIIe siècle font également partie des collections du musée[43].
Collection d'estampes
modifierLa collection privée Heide et Wolfgang Voelter (de) constituée d'environ 150 estampes du 20e siècle a été léguée par Heide Voelter et Wolfgang Voelter à l'Institut d'histoire de l'art de l'université de Tübingen en 2011[44]. Il s'agit principalement de représentations figuratives des années 1970 et 1980. Le point de départ de la collection est l'expressionnisme : Max Beckmann, Erich Heckel et Max Pechstein[44]. Une partie de cette collection regroupant près de quarante de ces œuvres fut exposée durant quelques mois à l'automne 2014 et l'hiver 2015 au château de Hohentübingen[44].
Collection liturgique
modifierLa collection d’œuvres liturgiques du musée se retrouve à l'Institut de prédication évangélique de l'université de Tübingen fondé en 1815[43].
Collection ethnologique
modifierLa collection ethnologique comporte un peu plus de 4 000 objets dont environ 2 500 photos en noir et blanc, et près de 250 aquarelles[45]. De nombreuses pièces de la collection ont été conçus par des peuples des régions pacifiques et d'autres par des peuples d'Amazonie (dont les Shipibo-Conibos). Cette collection présente également un panneau en bas-relief maori (un Poupou) confectionné en Podocarpus totara dédié au culte des ancêtres[45]. L'artefact a été ramené de Nouvelle-Zélande par le navigateur et explorateur James Cook lors de son premier voyage[45],[46],[47],[48]. La pièce, venue compléter la collection ethnographique de l'université allemande en 1937, mesure 98 × 33,5 × 3 cm[49].
-
Photo en noir et blanc d'Augustin Kraemer lors d'un voyage en Nouvelle-Guinée, en 1909.
-
Elisabeth Krämer-Bannow (de) en 1909.
-
Masques cérémoniels de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
-
Bas-relief maori (Poupou) en Podocarpus totara.
-
Vitrine d'exposition d'objets ethnologiques.
Collections numismatiques
modifierCollection de l'institut d'archéologie classique
modifierLa collection de monnaies de l'institut d'archéologie classique est amorcée en 1798, avec la donation testamentaire de 4 511 pièces rassemblées par Carl Sigmund Tux[50],[51],[52]. La collection numismatique de l'institut universitaire comprend environ 20 000 pièces, dont 8 000 monnaies grecques antiques, 6 000 monnaies romaines, 2 000 monnaies d'époques médiévale et moderne et 3 000 médailles, pièces obtenues par empreintes galvanoplastiques, plaquettes, billets de banque et presses monétaires[52].
La collection comprend une drachme provenant de Rhodiapolis (ancienne province de Lycie), et qui pèse 17,19 g[53] ; une diobole de Thrace portant le nom de Sparadokos, qui pèse 1,14 g et dont le diamètre mesure 10,7 à 11,5 mm[54] ; une pièce de 1479-1480 pourvue d'un avers à l'effigie d'Eberhard V de Wurtemberg et d'un revers portant le nom de Christophe Ier de Bade[55] ; une hémiobole provenant de la cité de Kýzikos (ancienne région de Mysie), pièce datée de 500-490 av. J.-C.[56] ; ainsi qu'une série de médailles et plaquettes coulées en bronze, argent ou or datées de la fin du XIXe et début du XXe siècle et portant l'effigie de Theodor Mommsen[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64].
Monnaies islamiques
modifierLa collection de monnaies islamiques est initiée en 1866 avec le dépôt d'une partie de la collection privée de l'orientaliste Ernst Heinrich Meier (de)[65],[66],[67],[68].
La collection de monnaies islamiques comprend un total de 75 000 objets issus de territoires allant de l'Espagne jusqu'à l'Afghanistan[66], dont : un dirham portant le nom de Nouh II, fils de Mansour 1er émir de Samanides, pièce pesant 6,91 g[69] ; un dirham émis sous le règne de Muhammad Ghûrî, sous la dynastie des Ghorides, pièce d'un poids de 3,22 g[70] ; des pièces marocaines en or datées des XIVe et XVe siècles, retrouvées à Butera[66].
Collections archéologiques
modifierCollections préhistorique et protohistorique
modifierCollection préhistorique
modifierLa collection préhistorique est, entre autres, composée de pièces d'art mobilier issues de la grotte de Vogelherd[29] ainsi que des artefacts — outils de façonnage, de débitage et de broyage, perles — mis en évidence dans les années 1934-1938 par Margit et Ludwig Kohl-Larsen au sein du site préhistorique de Mumba (en), près des rives du lac Eyasi, en Tanzanie[71],[72],[73],[74].
Le corpus préhistorique du musée comprend également des fossiles d'Australopithecus afarensis — dont des fragments de maxillaire datés d'environ 3,6 à 3,7 M d'années appartenant à un spécimen désigné sous le terme de « Garusi 1 » — ainsi que des restes d'individus d'hommes modernes — appartenant au groupe dit « hominidés d'Eyasi » —, ossements exhumés sur les sites de Mumba et de Laetoli par les Kohl-Larsen entre 1931 et 1939[72],[75],[76],[77],[71]. La collection de pièces préhistoriques est complétée par deux empreintes de pas fossilisées d'Australopithecus afarensis mises au jour en 1939 sur le site de Laoteli[78],[79].
-
Figurine de l'Aurignacien représentant un cheval sauvage.
-
Figurine représentant un oiseau.
-
Figurine représentant un ours ou un lion des cavernes.
-
Fragments de flûte paléolithique.
-
Salle d'exposition d'artefacts préhistoriques.
Collection protohistorique
modifierLa collection universitaire d'objets protohistoriques l'institut de pré- et protohistoire est initiée au début du XXe siècle, en 1904, avec les travaux de Robert Rudolf Schmidt (de)[80],[81]. Elle est ultérieurement complétée par du mobilier issu des fouilles du site de Heuneburg[82] — dont les travaux conduits par Gustav Riek sur le tumulus de Hohmichele (de) dans les années 1930[83] — et par des pièces provenant des sites archéologiques situés autour du lac Feder et de Bad Buchau — dont le site de Wetzikon-Robenhausen (en), près de la ville de Wetzikon, fouillé dans la seconde moitié du XIXe siècle par Jakob Messikommer[84] et le site de Wasserburg Buchau (de) excavé par Hans Reinerth et Robert Rudolf Schmidt dans les années 1920[85],[86],[87],[88],[89] —, objets faisant partie du bien patrimonial mondial de l'Unesco Sites palafittiques préhistoriques autour des Alpes[80].
La série d'objets protohistoriques comprend une épée en bronze hallstattienne datée des VIIe – VIe siècle av. J.-C. et pesant 894,3 grammes[90] ; un fragment d'une poterie gynécomorphe, mis en évidence dans les années 1980 sur un site palafittique à Bodman-Ludwigshafen, daté du IVe siècle av. J.-C. et mesurant 5,4 × 8 cm[91] ; une poterie retrouvée sur le site de Wasserburg Buchau, datée d'environ 1 000 av. J.-C., attribuable à la culture des champs d'urnes, mesurant 8,2 cm de haut, 15,8 cm de diamètre sur les bords et 5 cm de diamètre à la base[92].
Collection égyptologique
modifierLa collection égyptologique comprend principalement des pièces de vaissellerie (certaines en céramique d'autres en pierre) et des objets votifs en bronze[93]. Les plus anciennes pièces sont datées de 5 500 av. J.-C. et les plus récentes du VIIe siècle apr. J.-C.[93] Une partie du mobilier de la collection est le résultat des travaux de fouilles menés dans les années 1910 et 1920 sur la sépulture G 5170 à Gizeh[93],[94].
Le corpus égyptologique conservé par le musée comprend une fresque murale mise au jour dans le mastaba du vizir Seshemnefer III (la tombe G 5170), magistrat de l'Ancien Empire sous la Ve dynastie — période comprise entre 2 500 et 2 347 av. J.-C.[95],[96],[97],[98],[99]. La chambre funéraire de Seschemnofer III fut donnée en 1911 à l'université de Tübingen par Wilhelm Sieglin (de), professeur de géographie antique, qui la fit déterrer en Égypte dans le cadre d'une expédition de recherche dirigée par l'archéologue Theodor Schreiber (de)[100]. Le vestige, mis en évidence dans la chambre des offrandes par l'égyptologue Hermann Junker, et dont les deux pans de mur sont orientés selon les axes nord et ouest, mesure 2,45 × 1,57 m pour une épaisseur de 3,65 cm[95],[96],[98],[99].
-
Fresque murale de la tombe de Seschemnefer III.
-
Vestige de la tombe de Seschemnefer III.
-
Vestige de la tombe de Seschemnefer III.
-
Vestige de la tombe de Seschemnefer III.
-
Vestige de la tombe de Seschemnefer III.
Le mobilier égyptologique comporte également un masque funéraire, vestige d'un sarcophage, daté de la XXe dynastie et mesurant 28,5 × 26,5 cm[101] ; le sarcophage d'un personnage nommé Idi (de) — un officier de marine d'Assiout également appelé Jdjj —, pièce datée de la XXe dynastie, mesurant 200 × 48 × 52 cm et dont le couvercle est orné d'un nocturlabe[102],[103],[104] ; le fragment d'une « baguette » apotropaïque (baguette de naissance), un objet fabriqué dans de la corne d'éléphant portant des inscriptions sur chaque côté et qui mesure 11 cm de long pour 5,8 cm de diamètre[105] ; une figurine représentant un babouin tenant un Œil oudjat, conçue en faïence et mesurant 4,5 cm de haut[106] ; un sarcophage confectionné en bois polis dont les dimensions externes et internes sont respectivement de 195 × 70 × 47 cm et 175 × 50 × 30 cm, pièce attribuable à la fin de la XXVe/début de la XXVIe dynastie — sur la surface externe du cercueil figure un texte évoquant le jugement de l'âme et au sein duquel les divinités Thot, Rê-Horakhty, Osiris, Isis, Nephtys et Anubis sont mentionnées —[107],[108] ; un siège en bois daté du Nouvel Empire et mesurant 21 cm de haut pour 34 cm de long et 24 cm de large[109] ; la statue d'un faucon faite en bronze dont la tète est surmontée d'une double couronne pharaonique, une pièce datée entre 664 et 332 ans av. J.-C. mesurant 7,3 × 5,7 × 0,8 cm pour une hauteur de 23,5 cm[110],[111] ; une stèle consacrée au dieu Henou mesurant 5 × 26 × 41cm[112],[113] ; et la statue d'un ibis, une sculpture confectionnée en bronze, de 6 cm de haut pour 9 cm de long et datée des VIIe – IVe siècle av. J.-C.[114],[115].
Collection assyriologique
modifierLa collection assyriologique du MUT comprend plusieurs tablettes portant des inscriptions cunéiformes[116]. Les pièces sont datées du IIIe au Ier siècle av. J.-C.[116]. Une importante partie de ces inscriptions ont fait l'objet d'études et de travaux de transcription effectués par le philologue Georg Friedrich Grotefend[116],[117],[118].
La collection levantine comprend un fragment de dédicace faite par un architecte pour un souverain et gravée sur une brique faite en adobe[119] ; une inscription de 3,6 × 3,6 × 1,7 cm et d'un poids d'environ 500 g gravée sous la dynastie de Puzur-Mama (en) (époque sumérienne et datée d'environ 2 300 av. J.-C.)[120],[Note 3] ; une inscription de 1,6 × 5,8 × 5,3 cm datée d'environ 3 000 av. J.-C. (époque d'Uruk III) et mise en évidence sur le site de Warka[124].
Collection d'archéologie biblique
modifierLa collection d'archéologie biblique s'étend de l'âge du bronze ancien (environ 3 500 av. J.-C.) jusqu'à l'Antiquité tardive[125],[126],[127],[128]. Elle est constituée de près de 430 objets[125],[128]. La collection universitaire consiste, pour l'essentiel, en vaissellerie antique, pièce de monnaies, sceaux et figurines[125]. Une importante partie des pièces ont été retrouvées au cours de travaux entrepris en Palestine dans les années 1960, peu après la création de l'institut d'archéologie biblique (BAI), fondation initiée par le théologue Karl Elliger (de) au tout début de cette décennie[128],[125]. 70 pièces sont collectées au cours de fouilles conduites en 1964[128]. Les sites archéologiques de Bab edh-Dhra (en), Tell el-Burak (en), ou encore de Tell Deir Alla (sondé sous la direction de l'institut d'archéologie biblique en 1987) sont, entre autres, les lieux où ont été découverts les objets de la collection[128],[129],[130]. En 1969, la création du TAVO (Tübinger Atlas des Vorderen Orients (de)), le 19e centre (en) fondé par la fondation allemande pour la recherche, permet de réaliser un premier inventaire du mobilier mis en évidence lors de travaux archéologiques[128],[130]. Au milieu des années 2000, une banque données, permettant de cataloguer les pièces, est créée[128],[129]. Les 2008-2009 voient la constitution d'un groupe de travail consacré aux recherches et publications sur les objets de la collection d'archéologie biblique[128],[129].
La mobilier archéologique comprend une cruche datée entre 2 400 et 2 000 av. J.-C.[131], un pichet daté entre 1 500 et 1 200 av. J.-C.[132], un autre pichet daté entre 950 et 800 ans av. J.-C.[133], une lampe à huile datée entre 800 et 600 ans av. J.-C.[134], une autre lampe à huile datée entre 1 500 et 1 200 av. J.-C.[135], deux lampes à huile respectivement datées de 300 à 100 ans av. J.-C. et de 2 400 à 2 200 av. J.-C.[136],[137]
Collection d'archéologie classique
modifierPièces originales d'archéologie classique
modifierLa collection d'objets d'Antiquité gréco-romaine, commence à être assemblée à la fin du XIXe siècle, le , avec notamment le dépôt d'une statuette en bronze représentant un hoplite effectuant une course (ou possiblement une danse)[138],[139],[140],[141]. L'œuvre, découverte en Attique par Carl Sigmund Tux, mesure environ 16,3 cm de haut et est datée entre 490 et 485 av. J.-C.[139],[138],[140],[142].
Environ 10 000 pièces, confectionnées en céramique, en bronze, ou en terracotta), composent la collection[139]. La plupart d'entre elles sont datées du IIIe siècle av. J.-C. au Ve siècle apr. J.-C.[139].
Outre la statuette du guerrier hoplitique le corpus d'archéologie classique comprend également une cruche décorée de figures géométriques et d'une χορεία, céramique datée entre 760 et 750 ans av. J.-C. et mesurant 32,5 × 22 cm[143] ; un cratère décorée de scènes évoquant des épisodes de la guerre de Troie — figurant les personnages d'Hélène, Ménélas, Aphrodite et Éros —, vase daté de 460 av. J.-C. et mesurant 39,8 cm de haut, 17,5 cm de diamètre minimal et 44 cm de diamètre maximal[144] ; une tanagra munie d'un miroir à manche, datée des IVe – IIIe siècle av. J.-C. et mesurant 26,3 cm de haut[145] ; et un skyphos attique à figures rouges et scène représentant deux personnages — Dionysos et Silène — drapés d'un himation, objet retrouvé à Bologne et daté d'environ 460 av. J.-C.[146],[147].
-
Statue en bronze représentant un hoplite.
-
Vue de profil du guerrier hoplitique.
-
Un cratère (à gauche) et une tanagra (à droite).
-
Vitrines d'exposition d'objets d'archéologie classique (dont deux cratères).
-
Vitrines d'exposition de pièces d'archéologie classique.
Gypsothèque
modifierLa gypsothèque (it) compte environ 370 sculptures (copies et originales)[148]. La gypsothèque de Tübingen est créée en 1836[149] Des copies de statues antiques ont été façonnées dans l'atelier de moulage du Louvre[150],[151] — établissement créé en 1794[152] —. La collection comprend une reproduction du groupe du Laocoon mesurant 2,42 m de haut[148],[151],[153] ; une copie de la statue d'époque impériale Apollon du Belvédère[154] ; une reproduction de 2,45 m de haut de la Victoire de Samothrace, statue sculptée dans l'atelier parisien Moulages du Louvre[155] ; une copie d'Aphrodite Braschi (l'original mesure 174 cm de haut), œuvre déclinée du groupe statuaire Aphrodite de Cnide[156] ; la réplique faite en bronze de Diadumène, pièce déposée à Tübingen en 1905[157] ; la reproduction de la sculpture d'époque archaïque Koré, pièce acquise en 1914[158] ; un buste représentant Platon, sculpture de 55 cm de haut sur 30 de large et 30 de long[159].
-
Salle d'exposition de la gypsothèque.
-
Copie du groupe du Laocoon.
-
Id.
-
Id.
-
Copie de l'Apollon du Belvédère.
-
Copie de la Victoire de Samothrace.
-
Id.
Collection d'archéologie médiévale
modifierCollection archéobotanique
modifierCollection archéozoologique
modifierCollections des sciences de la Terre
modifierCollection géoarchéologique et micromorphologique
modifierLa collection géoarchéologique et micromorphologique est composée d'environ 7 000 pièces dont des lames minces de roches, des échantillons de gisements sédimentaires contenant de la résine fossilisée (ambre) et des échantillons de coulées sédimentaires, l'ensemble de ces spécimens provenant de différentes unités stratigraphiques[160]. Outre les spécimens archéologiques, la collection inclut un grand nombre d'échantillons de sédiments récemment identifiés[160]. La plupart des pièces de cette collection ont fait l'objet d'une donation du géoarchéologue, géologue, micromorphologiste et membre de l'institut des sciences archéologiques de Tübingen Paul Goldberg (en)[160],[161].
Parmi les pièces comprises dans la collection, se trouve une lame mince de sédiment contenant des résidus cendreux (restes d'un feu) daté d'environ 40 000 ans[162]. Le corpus géomorphologique comporte également une microphotographie d'une coupe sédimentaire contenant les fragments d'exosquelette de bivalves[163]. Ces restes sont le témoignage d'une consommation humaine[163].
Collection paléontologique
modifierLa collection paléontologique comprenait environ 600 000 pièces dans la première moitié des années 2010[164] et approximativement un million dans la seconde moitié des années 2010[8],[9]. Elle est en partie composée de collections privées[17],[6].
-
Squelette d'un Liopleurodon ferox.
-
Squelette d'un Lystrosaurus hedini.
-
Squelette d'un Chiniquodon theotonicus.
-
Squelette d'un Hyperodapedon sanjuanensis.
Collections cristallographique et minéralogique
modifierLa collection cristallographique et minéralogique, débutée au cours du XIXe siècle, est abritée dans le bâtiment Lothar-Meyer[165]. Les pièces minéralogiques sont exposées sous 40 vitrines d'exposition, chaque vitrine correspondant à une thématique — variété des espèces minérales, minerais contenus dans les Lagerstätten (dépôts sédimentaires riches en fossiles), minéraux à émission fluorescente, cristallographie, sels minéraux, fragments de météorites, etc.[165].
La collection comprend une octaédrite[166] ; une modélisation de la structure cristalline de la calcite[167] ; une lame mince de roches préparée en 1900 par le minéralogiste Carl Klein en vue de ses recherches pétrographiques et sur la classification des minéraux[168],[169] ; un modèle de réseau de la macle de cristaux[170] ; un fragment de Murchinson (météorite classée dans le groupe des chondrites carbonées ou chondrites de type CM2) retrouvée à Murchinson, dans l'état de Victoria, pièce pesant 234 grammes et datée d'environ 4,567 Ga[171] ; un morceau de limonite recueilli près de Nuremberg[172] ; un fragment d'Imilac (en) de 24,6 g, une chondrite de type L6 riche en olivine, fragment provenant d'une météorite pesant plus d'une tonne, découverte dans le désert d'Atacama, dans le nord du Chili en 1822[173],[174],[175],[176] ; un fragment de 385,5 g issu de la météorite Arispe (ou Arizpe), objet de type IC découvert en 1896 dans la ville de Sonora, au Nouveau-Mexique[177],[178],[179] ; un morceau de houille mesurant 25 × 36 × 20 cm[180] ; un crital de gypse[181] ; un spécimen de quartz noir[182] ; une rose des sables[183] ; un spécimen de tourmaline[184] ; un spécimen de calcite[185] ; des cristaux d'aragonite[186] ; de la pyromorphite[187] ; un spécimen d'alun[188] ; un spécimen de grenat à structure rhombo-dodécaédrique[189] ; un rubis[190] ; une hématite[191] ; un spécimen de wavellite[192] ; une okénite associée à une zéolithe composée de cristaux de mordénite (en)[193] ; et de la pyrite[194].
Collections relatives aux sciences de la vie
modifierCollection zoologique
modifierLa collection zoologique, créée vers le milieu du XIXe siècle, consiste essentiellement en une série de spécimens conservés (endémiques ou exotiques) provenant d'Asie, d'Australie, d'Afrique, d'Amérique et d'Europe centrale[195]. Aux spécimens empaillés s'ajoutent 32 modèles en verre représentant des invertébrés marins, œuvres exécutées par les artisans-verriers Léopold et Rudolf Blaschka[196],[197],[195].
La collection comporte, entre autres, un modèle en verre d'un spécimen de Physophora magnifica, mesurant 32 × 13 × 13 cm[197],[196] ; un spécimen de Circaète Jean-le-Blanc[198] ; un Crocodile du Nil[199] ; un modèle en verre d'un exosquelette d'Aulosphaera elegantissima, espèce appartenant aux Phaeodareae, classe rattachée à l'embranchement des radiolaires[200]
Collections botaniques
modifierHerbatorium
modifierJardin botanique
modifierLe jardin botanique de Tübingen est associé à un alpinum, un arboretum et un jardin tropical[201]. La collection botanique est constituée d'un total d'environ 10 000 essences réparties sur une surface de 3 000 m2[201].
La collection d'essences comprend, entre autres, un davidia involucrata[202], un decaisnea insignis[203], une dryas octopetala[204]
-
Ammannia senegalensis.
-
Arisaema engleri.
-
Clematis vitalba.
-
Cobaea scandens.
-
Crassula arta.
-
Lonicera tellmanniana.
-
Onoclea sensibilis.
-
Passiflora holosericea.
Collection d'objet d'astronomie et d'astrophysique
modifierLa collection de l'institut universitaire d'astronomie et d'astrophysique de Tübingen débute en 1752, avec l'acquisition d'un quadrant[205]. Avec de nouveaux travaux de recherches, la collection s'accroît vers le milieu des années 1960[205].
La collection se compose, entre autres, d'un globe céleste conçu en 1854 par Carl Adami pour les recherches de Dietrich Reimer (de)[206] ; une lunette méridienne fabriquée en 1837[207] ; une partie corps du télescope ORFEUS (de) (observatoire spatial lancé en 1993) ainsi qu'un détecteur de rayons UV compris dans la charge utile de l'engin, de 40 × 40 mm et d'une définition de 512 pixels[208],[209],[210],[211], un oscillographe de 1935[212] ; deux galvanomètres, l'un fabriqué en 1940 et l'autre en 1950[213],[214] ; et un télescope conçu par la société Reichenbach & Utzschneider pour Johann Gottfried Friedrich Bohnenberger en 1814, instrument d'observation dont la monture équatoriale mesure 70 cm de diamètre et la monture azimutale fait 95 cm de diamètre[215],[216],[217].
Collections de médecine
modifierCollection relative à l'anatomie
modifierCollection d'instruments médicaux
modifierCollection d'ostéologie
modifierCollection d'odonto-stomatologie
modifierCollection de néonatologie
modifierCollection d'éthique et d'histoire de la médecine
modifierCollection relative aux pathologies
modifierCollection d'instruments de biochimie
modifierLe musée abrite également l'un des premiers laboratoires de biochimie[218]. En 1818, l'université installe un laboratoire de chimie dans l'ancienne cuisine du château de Hohentübingen, une salle aux voûtes de style Renaissance, dans lequel Friedrich Miescher exécuta ses travaux de recherche qui le conduisirent, en 1869, à isoler dans le noyau de certaines cellules les premiers acides nucléiques[218] dont le rôle en tant que porteur du matériel génétique ne sera reconnu que des décennies plus tard. Depuis novembre 2015, l'emplacement, qui a été rénové, fait partie du MUT et est ouvert au public[218]. Au centre de la salle d'exposition peut être observée l'éprouvette originale de Miescher contenant de l'acide nucléique[218].
Collection informatique
modifierCollection d'histoire des sciences
modifierCollection cartographique
modifierCollection d'instruments de mathématiques
modifierNotes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- (de) Philipp Aumann et Ernst Seidl, « MUT zum 'KörperWissen'. Aufgaben und Strategien des Museums der Universität Tübingen », dans C. Weber et K. Mauersberger (dirs.), Universitätsmuseen und Sammlungen im Hochschulalltag, Berlin 2010, 119–126 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Abguss-Sammlung im Museum der Universität Tübingen MUT - Alte Kulturen - Sammlungen im Schloss Hohentübingen », sur la base de données de l'Universitätssammlungen in Deutschland (consulté le ).
- (de) « EISZEITKUNST IN TÜBINGER MUSEUM - Mehr Besucher durch Unesco-Siegel », Südwestrundfunk, (lire en ligne).
- (de) « Tübingen - Ärger um Vermarktung von Fundstücken aus Eiszeithöhlen », Süedwest Presse, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) Hans-Mikaël Körner, « Möglischekleitsraüme und Lernlabore », Aviso, no 1, , p. 26-30 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Ernst Seidl (dir.), Sammlungen der Universität Tübingen MUT, (lire en ligne [PDF]).
- (de) R. Krmnicek, « Die falschen Münzen des Stuttgarter Regierungsrates Carl Sigmund Tux (1715–1798) », dans K. B. Zimmer (ed.), Rezeption, Zeitgeist Fälschung – Umgang mit Antike(n). - Akten des Internationalen Kolloquiums am 31. Januar und 1. Februar 2014 in Tübingen, Verlag Marie Leidorf GmbH · Rahden/Westf., coll. « Tübinger Archäologische Forschungen » (no 18), (lire en ligne).
- (en) Ingmar Werneburg et Madelaine Böhme, chap. 52 « Tübingen: The Palaeontologial Collection of Tübingen », dans Paleontological Collections of Germany, Austria and Switzerland, Springer, , 505-512 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) I. Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne).
- (de) « Schätze im Schloss Hohentübingen », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) Bernd Engler, « Verwaltungsordnung für das Museum der Universität Tübingen MUT », Amtliche Bekanntmachungen der Universität Tübingen, 1303e série, no 17, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) « Schätze der Menschheit - Bewahren, verstehen, erleben, erfahren », sur site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « B. Kritische Bestandsaufnahme : Zustand und Funktion der wissenschaftlichen Sammlungen als Forschungsinfrastrukturen », dans Empfehlungen zu wissenschaftlichen Sammlungen als Forschungsinfrastrukturen, Berlin, (lire en ligne [PDF]), p. 23.
- (en) « Loan », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (en) Theagarten Lingham-Soliar, chap. 9 « Reptile return to the Sea », dans The Vertebrate Integument, vol. 1 : Origin and Evolution, Springer Science & Business Media, , 268 p. (lire en ligne).
- (de) « Sammlung - Willkommen bei der Paläontologischen Sammlung der Universität Tübingen », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) Wolf von Engelhardt et Helmut Hölder, Mineralogie, Geologie und Paläontologie an der Universität Tübingen von den Anfängen bis zur Gegenwart, vol. 20, Franz Steiner Verlag, , 292 p. (lire en ligne).
- (de) Manuel Flecker, « Sehnen, Sehen, Sammeln und Erinnern. Kavaliersreise und Grand Tour als Motor der Antikenrezeption zwischen dem 16. und 19. Jh. », dans Johannes Lipps et Anna Pawlak (dirs.), Antike im Druck. Zwischen Imagination und Empirie, vol. 17, Tübingen, Université Eberhard Karl de Tübingen, , 38-43 p. (lire en ligne).
- (de) « Gemäldesammlung Kölle », sur site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Institut für Klassische Archäologie », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Der Tübinger Kanon: Wie die antike Skulptur an den Neckar kam », Weltkunst (de), (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Eröffnung der Ausstellung „Der Tübinger Kanon. Wie die antike Skulptur an den Neckar kam“ - Museum Alte Kulturen der Universität Tübingen », sur le site du Koordinierungsstelle für wissenschaftliche Universitätssammlungen in Deutschland, Université Humboldt de Berlin (consulté le ).
- (de) « Der Tübinger Kanon – Wie die antike Skulptur an den Neckar kam », Magazin Museum, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Sonderschau zu den Statuen, Büsten und Reliefs im Rittersaal auf dem Tübinger Schloss », Heutlinger General-Anziger, (lire en ligne).
- (de) « Ethnologische Sammlung », sur site officiel du MUT (consulté le ).
- Schöbel 2012, p. 3.
- Schöbel 2012, p. 4.
- Schöbel 2012, p. 1.
- Dutkiewicz 2015, p. 85.
- (de) Ulla Steuernagel, « Wievel Welterbe ist Tübingen? : Auf der Schwäbischen Alb will man den Ruhm nicht mit dem Tübinger Museum Teilen », Südwest Presse - Neckar-Chronik, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Suche : Vogelherdhöhle », musée des cultures anciennes du château Hohentübingen (consulté le ).
- (de) « Sammlung der Älteren Urgeschichte », musée des cultures anciennes du château Hohentübingen (consulté le ).
- (de) « Zeitreise im Zeitraffer », Ville de Niederstotzingen (consulté le ).
- (en) Willem Frijhof, University Town of Tübingen Report on the application of Tübingen for the UNESCO World Heritage List, (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Sammlung der Jüngeren Urgeschichte », sur site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Schwieriges Erbe », sur le site officiel du musée Linden (consulté le ).
- « Schwieriges Erbe - Forschungsprojekt zum museologischen und wissenschaftlichen Umgang mit kolonialzeitlichen Objekten in ethnologischen Museen - Pressemitteilung zum Projektstart » [PDF], sur le site du musée Linden, (consulté le ).
- (en) « Palaeontological Collection », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Lagepläne - Karte B », sur le site de l'université de Tübingen (consulté le ).
- (de) « WissensDinge - Die 70 Sammlungen der Universität Tübingen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Werke - emuseum », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) MUT Museum der Universität Tübingen, « Gemäldesammlung der Universität - MUT Tübingen », sur www.unimuseum.uni-tuebingen.de (consulté en )
- (de) MUT Museum der Universität Tübingen, « Sammlung der Evangelischen Predigeranstalt - MUT Tübingen », sur www.unimuseum.uni-tuebingen.de (consulté en )
- (de) Ernst Seidl, « WissenschaftlerLeben mit Kunst. Die Graphiksammlung Voelter – Ausstellung im Schloss Hohentübingen · Koordinierungsstelle wissenschaftliche Sammlungen », sur wissenschaftliche-sammlungen.de, (consulté en )
- (de) « Ethnologische Sammlung », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- Anne Salmond, L'île de Vénus : les européens découvrent Tahiti, Au vent des îles, , 654 p. (lire en ligne).
- (en) Ngarino Ellis, « Carving Styles », dans A Whakapapa of Tradition : One Hundred Years of Ngati Porou Carving, 1830-1930, Auckland University Press, , 304 p. (lire en ligne).
- (en) Anne Salmond, chap. 1 « Hau : The Wind of Life », dans Tears of Rangi : Experiments Across Worlds, Auckland University Press, , 512 p. (lire en ligne).
- (de) « Paneel mit einer Ahnendarstellung Poupou », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) Anke te Heesen et Anette Michels, Auf \ Zu: Der Schrank in den Wissenschaften, Walter de Gruyter, (lire en ligne).
- (de) « Schatz des Monats August: Eine Römische Münze aus den Ruinen der Burg Nagold », Schwabiches Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Antike Münzen - Münzsammlung der Klassischen Archäologie », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Fritz Rudolf Künker, Künker Auktion 288 - Münzen aus der Welt der Antike (Frühjahrs-Auktionen 2017), GmbH & Co. KG, (lire en ligne).
- (de) Ulrike Peter, chap. 2.1 « Sparadokos (zweite Hälfte 5. Jhre v.Chr.) », dans Die Münzen der thrakischen Dynasten (5.-3. Jahrhundert v. Chr.) : Hintergründe ihrer Prägung, Walter de Gruyter GmbH & Co KG, , 313 p. (lire en ligne), p. 63.
- (de) Fritz Rudolf Künker, « Würtemberg », dans Künker Auktion 188 - Münzen und Medaillen aus Mittelalter und Neuzeit Bedeutende Sammlung Osnabrück, GmbH & Co. KG, (lire en ligne), p. 234.
- (de) Kolner Münzkabinett - Katalog, Auktion 84, (lire en ligne), p. 12.
- (de) « Galvanoplastischer Abguss einer Medaille auf den 60. Geburtstag von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Medaille auf Theodor Mommsen anlässlich des Philologentages 26.–30. September 1899 in Bremen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Plakette auf den 80. Geburtstag von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Silbermedaille auf den Tod von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Bronzeplakette auf den Tod von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Zinnplakette auf den Tod von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Bronzeplakette auf den Tod von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Zinnmedaille auf den Tod von Theodor Mommsen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Stefan Heidemann, Islamische Numismatik in Deutschland : eine Bestandsaufnahme (lire en ligne).
- (de) « Münzsammlung der Islamische Numismatik », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Ernst Heinrich Meier, « Die Werthbezeichnungen auf muhammedanischen Münzen », Zeitschrift der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft, vol. 18, no 4, , p. 760-774 (lire en ligne, consulté le ).
- Seidl, Beck et Duerr 2013.
- (de) Fritz Rudolf Künker, « Islamische Münzen », dans Künker Auktion 188 - Münzen und Medaillen aus Mittelalter und Neuzeit Bedeutende Sammlung Osnabrück, GmbH & Co. KG, (lire en ligne), p. 98.
- (de) Fritz Rudolf Künker, « Vorislamische Münzen », dans Künker Auktion 188 - Münzen und Medaillen aus Mittelalter und Neuzeit Bedeutende Sammlung Osnabrück, GmbH & Co. KG, (lire en ligne), p. 100.
- (en) Nicholas J. Conard, « World Heritage and the Middle Stone Age : examples from East Africa and South Africa », dans Nuria Sanz, Human origin sites and the World Heritage Convention in Africa, vol. 33, (lire en ligne [PDF]), p. 19 à 21.
- (de) « Sammlung der Älteren Urgeschichte », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (en) Luke A. Gliganic, Zenobia Jacobs, Richard G. Roberts et al., « New ages for Middle and Later Stone Age deposits at Mumba rockshelter, Tanzania: Optically stimulated luminescence dating of quartz and feldspar grains », Journal of Human Evolution, vol. 62, no 4, (DOI 10.1016/j.jhevol.2012.02.004, lire en ligne, consulté le ).
- (en) Knut Bretzke, Anthony E. Marks et Nicholas J. Conard, « Projectile technology and cultural evolution in East Africa », Mittelungen der Gesellschäft für Urgeschichte, vol. 15, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Garusi I (Maxillafragment mit PM 3 und PM 4; Australopithecus afarensis) », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (en) Günter Braüer, « Human skeletal remains from Mumba Rock Shelter, Northern Tanzania », American Journal of Physical Anthropology, vol. 52, no 1, 1980 , p. 71-84 (DOI 10.1002/ajpa.1330520110, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en + fr) Pierre-François Puech, « Australopithecus afarensis Garusi 1, diversité et spécialisation des premiers Hominidés d'après les caractères maxillo-dentaires. », Comptes rendus de l'Académie des sciences, vol. 303, no 20 « Série II, Mécanique, physique, chimie, sciences de l'univers, sciences de la terre », , p. 1819-1824 (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Laetoli-Fußspuren », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Am Anfang steht der Mensch », Schwabiches Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Sammlung der Jüngeren Urgeschichte », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de + en) Michael Bolus et Nicholas J. Conard, « 100 Jahre Robert Rudolf Schmidts : Die diluviale Vorzeit Deutschlands », Mitteilungen der Gesellschaft für Urgeschichte, vol. 21, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Sammlung von Institut für Ur- und Frügeschichte - Keramik von Heuneburg bei Hundersingen », sur le site de l'institut de pré- et protohistoire de Tübingen (consulté le ).
- Schöbel 2012, p. 11-13.
- Schöbel 2012, p. 5-7.
- (de) G. Neumann, « Buchau », dans Johannes Hoops (dir.), Reallexikon der Germanischen Altertumskunde, vol. 4, Walter de Gruyter, , 674 p. (lire en ligne).
- (de) « Sammlung von Institut für Ur- und Frügeschichte - Keramik von Wasserburg Buchau », sur le site de l'institut de pré- et protohistoire de Tübingen (consulté le ).
- (de) Gunter Schoebel, « Die "Wasserburg Buchau", Eine Ufersiedlung der späten Bronzezeit im Federsee in Südwestdeutschland. », dans Z badan nad osadnictwem epoki brazu i wczesnej epoki zelaza w Europie ´Srodkowej (Aus den Forschungen über das Siedlungswesen der Bronze und der frühen Eisenzeit in Mitteleuropa)., Universitätsverlag Kraków, , 205-218 p. (lire en ligne).
- (de) Michael Custodis, « Exkurs: Hans Reinerth », dans Herman-Walther Frey: Ministerialrat, Wissenschaftler, Netzwerker: NS-Hochschulpolitik und die Folgen, Waxmann Verlag, (lire en ligne).
- Schöbel, p. 8-10.
- (de) « Bronzeschwert », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Gynaikomorphe Hauswandapplikation », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Keramik », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Ägyptische Sammlung », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) Ingrid Gammer-Wallert, Von Gisa zu Tübingen : Die bewekte Geschichte der Mastaba G 5170, Köpfer & Meyer, (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Opferkammer Seschemnefers III », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Dieter Grupp, « Ägyptische Hochkultur im Tübinger Schloss: Die Mastaba des Seschemnefer III. und die ägyptologische Sammlung », sur Archäologie der Zukunft (consulté le ).
- (de) Martin Fitzenriter, « Jenseits im Diesseits », dans Christoph Kümmel, Beat Schweizer et Ulrich Veit, Körperinszenierung - Objektsammlung - Monumentalisierung: Totenritual und Grabkult in frühen Gesellschaften, Waxmann Verlag, (lire en ligne).
- (de) Ingrid Gammer-Wallert, « Die bewegte Geschichte der Mastaba Seschemnofers III. (G 5170) », Sokär - Die Welt der Pyramieden, vol. 5, no 9, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Hartwig Altenmüller, « Väter, Brüder und Götter - Bemerkungen zur Szene der Ubergabe der Lotosblüte », dans "Zur Zierde gereicht…": Festschrift Bettina Schmitz zum 60. Geburtstag am, vol. 50, coll. « Hildesheimer Ägyptologische Beiträge », , 17-28 p. (lire en ligne [PDF]).
- Emma Brunner-Traut: Die altägyptische Grabkammer Seschemnofers III. aus Gîsa. von Zabern, Mayence, 1978, (ISBN 3-8053-0319-X) (Neuausgabe. ebenda 1995)
- (de) « Gesichtsmaske », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Ägyptische Sammlung: Die Mumien bleiben im Magazin », Schwabisches Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Sarg des Idi », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Die Ägyptische Sammlung », sur le site de l'université de Tübingen (consulté le ).
- (de) Hartwig Altenmüller, « Ein Zaubermesser aus Tübingen », Die Welt des Orients, vol. 14, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) « Pavian », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Außensarg der Taditiajna », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Innensarg der Taditiajna », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Eva Holfmann, « Privatstatuen – Stellvertreter und Mittler », dans Ramses - Göttlicher Herrscher am Nil, Badische Landesmuseum Karlsruhe, (lire en ligne [PDF]), p. 220.
- (de) « Falke », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Jitse Dijkstra, « Das Schicksal der Tempel in der Spätantike », dans Kult Orte, (lire en ligne).
- (de) « Grabstele des Henu », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Evamaria Engel, Vera Müller et Ulrich Hartung, Zeichen aus dem Sand: Streiflichter aus Ägyptens Geschichte zu Ehren von Günter Dreyer, Otto Harrassowitz Verlag, , 704 p. (lire en ligne).
- Brunner et Brunner-Traut 1981, p. 66.
- (de) « Ibis », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Keilschriften - Altorientalische Sammlung », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) Georg Friedrich Grotefend, Neue Beiträge zur Erläuterung der babylonischen Keilschrift, Hahn, (lire en ligne).
- (en) Morris Jastrow, The Civilization of Babylonia and Assyria: Its Remains, Language, History, Religion, Commerce, Law, Art and Literature, Assyrian International News Agency, (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Fragment eines beschrifteten Lehmziegels », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Urkunde über ein Darlehen von 500 Gramm Silber », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) Konrad Volk, « Puzur-Mama und die Reise des Königs », Zeitschrift für Assyriologie und Vorderasiatische Archäologie, vol. 82, no 1, , p. 22–29 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Javier Álvarez-Mon et Gian Pietro Basello, Yasmina Wicks, The Elamite World, Routledge, (lire en ligne).
- (en) Giuseppe Visicato, « The career of Ur-Bagara », dans Sarah Melville, Alice Slotsky, Opening the Tablet Box: Near Eastern Studies in Honor of Benjamin R. Foster, BRILL, (lire en ligne).
- (de) « Bruchstück einer Urkunde aus der Uruk-III-Zeit », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Biblisch - Archäologische Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Atlas zum Ackerbau im antiken Palästina - Inhaltsverzeichnis » [PDF], sur le site de l'Université de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Atlas zum Ackerbau im antiken Palästina - Kartenverzeichnis » [PDF], sur le site de l'Université de Tübingen (consulté le ).
- (de) Jens Kamlah, « Die Schriften des Alten Testaments und ihre vielfältigen Lebenswelten. Zur Geschichte und zur Funktion des Biblisch‑Archäologischen Instituts in Tübingen », dans C. Landmesser et H. Zweigle (dirs.), Allein die Schrift!? Die Bedeutung der Bibel für Theologie und Pfarramt, coll. « Theologie Interdisziplinär » (no 15), , 9‑24 (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Studiengruppe zur Aufbereitung der Sammlung am Biblisch-Archäologischen Institut », sur le site de l'Université de Tübingen (consulté le ).
- (de) Hans-Joachim Lang, « Eine Orchidee steht in neuer Blüte - Das Tübinger Biblisch-Archäologische Institut ist in Deutschland einzigartig », Schwabischer Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Vorratskrug », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Krüglein », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Krüglein », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Öllampe », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Öllampe », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Öllampe », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Öllampe », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Kathrin B. Zimmer, « Schatz des Monats Januar: Der Waffenläufer ist ein altbekanntes Tübinger Highlight », Schwabiches Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Originalsammlung der Klassischen Archäologie », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Carol C. Mattusch, « Challenges », dans Greek Bronze Statuary : From the Beginnings Through the Fifth Century B.C., Cornell University Press, , 246 p. (lire en ligne), p. 115.
- (de) G. Reimer (dir.), Jahrbuch des Kaiserlich Deutschen Archäologischen Instituts, Berlin, Kaiserlich Deutschen Archäologischen Instituts, (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Waffenläufer, sog. Tux'sche Bronze », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Geometrische Kanne mit Reigentanz », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Kolonettenkrater – Flucht und Rettung der Helena », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Tanagrafigur mit Fächer », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Berthold Fellmann, « Attisch-rotefigurige Taffel 53 », dans Attisch-schwarzfigurige Augenschalen, C.H.Beck Verlag, , 139 p. (lire en ligne), p. 87.
- (en) Natalʹi︠a︡ Alekseevna Sidorova, « Skyphoi », dans Corpus Vasorum Antiquorum : Attic red-figured vases, L'ERMA di BRETSCHNEIDER, , 68 p. (lire en ligne), p. 45.
- (de) « Abguss-Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- Soline Molinière, « La gypsothèque de l’Université de Strasbourg : quand les statues parlent d’elles-mêmes », Archimède, no 2, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Christiane Pinatel, « La formation de la collection de moulages d'après l'antique à Versailles. », Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, , p. 326, note 35 (DOI 10.3406/bsnaf.1999.10115, lire en ligne, consulté le ).
- (de) Berthold Seewald, « Laokoon-Gruppe », Die Welt, (lire en ligne, consulté le ).
- « L’histoire de l’atelier de moulage », sur le site de l'atelier d'art des musées nationaux, Rmn (consulté le ).
- (de) « Laokoon-Gruppe », sur le site du MUT (consulté le ).
- Seidl, Beck et Duerr 2013, p. 33.
- (de) « Nike von Samothrake », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Aphrodite Braschi, Variante der Aphrodite von Knidos », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Diadumenos, Rekonstruktion », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Archaïsche Kore 638 », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Büste von Platon », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Geoarchäologische Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- (en) Cristiano Nicosia et Georges Stoops, Archaeological Soil and Sediment Micromorphology, John Wiley & Sons, , 496 p. (lire en ligne).
- (de) « Scan eines dünnen Abschnittes von Sedimenten », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Mikrofotografie von Sedimenten », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Ulrike Pfeil, « Kustos der Paläontologischen Sammlung bekommt seine Stelle nicht verlängert », Schwäbisches Tagblatt (en), (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Mineralogische Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Feiner Oktaedrit », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Strukturmodell eines Kalkspats », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Kleinsche Sammlung 115 Dünnschliffe petrographisch wichtiger Mineralien », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) F. von Wolff, « Carl Klein », Centralblatt für Mineralogie, Geologie und Paläontologie, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) « Modelle zur Zwillingsbildung von Kristallen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Murchison », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Murchison », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Meteorit Imilac », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Gregor Markl, chap. 4.4 « Meteorite und Komenten », dans Minerale und Gesteine : Mineralogie – Petrologie – Geochemie (lire en ligne).
- « Rapports - Minéralogie », Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences, t. 58, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Pedersen, H., Lindgren, H. et Canut de Bon, C, « Strewn-fields of Imilac and Vaca Muerta », Abstracts and Program for the 52nd Annual Meeting of the Meteoritical Society, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Arispe », sur le site du MUT (consulté le ).
- Seidl, Beck et Duerr 2013, p. 71.
- Buchwald, Vagn F., Handbook of Iron Meteorites, vol. 2, University of California Press, , 1418 p. (lire en ligne [PDF]), p. 216.
- (de) « Steinkhole », sur le site du MUT (consulté le ).
- « Gipslisen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Bergkristall », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Sandrose », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Turmalin », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Doppelspat (Calcit) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Aragonit », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Pyromorphit », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Kalialaun », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Granat-Rhombendodekaeder », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Rubin », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Hämatit ("Eisenrose") », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Wavellit », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Okenit mit Mordenit », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Pyrit-Würfel », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Zoologische Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Sonja Häder, « Kunstformen als Wissensrepräsentationen. Die naturwissenschaftlichen Glasmodelle von Leopold (1822-1895) und Rudolf (1857-1939) Blaschka », dans Priem, Karin ; König, Gudrun M. ; et Casale, Rita (dirs.), Die Materialität der Erziehung: Kulturelle und soziale Aspekte pädagogischer Objekte., vol. 58, Beltz Juventa Verlag, coll. « Zeitschrift für Pädagogik », (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Zwischen Kunst und Wissenschaft », Achtung Dreissig Dinge, Université de Tübingen, vol. 38, no 3, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Schlangenadler (Circaetus gallicus) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Nilkrokodil (Crocodylus niloticus) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Glasmodell des Kieselskeletts von Aulosphaera elegantissima », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Botanischer Garten mit Sammlungen », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Davidia involucrata (Taschentuchbaum) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Decaisnea insignis (Blaugurkenstrauch) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Dryas octopetala (Weiße Silberwurz) », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Astrophysikalische Sammlung », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Himmelsglobus von Carl Adami für Dietrich Reimer », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Passageinstrument aus der Werkstatt von Fraunhofer, Ertl & Sohn », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Teil des ORFEUS-Satellitenteleskops », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Detektor des ORFEUS-Satellitenteleskops », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Krämer, G., Appenzeller, I., Eberhard, N et al., « ORFEUS: A 1m-EUV/FUV-telescope », Mitteilungen der Astronomischen Gesellschaft, vol. 68, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) K. Werner, chap. 1.4 « UV and EUV instruments », dans J.E. Trümper, Astronomy, Astrophysics, and Cosmology, vol. 4 : Instruments and Methods, Berlin, Springer-Verlag, (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Philips-Oszillograph », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Multiflex-Galvanometer », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Spiegel-Galvanometer », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Reichenbach'scher Kreis mit Fernrohr », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Rolf Rieker, Fernrohre und ihre Meister, (lire en ligne [PDF])
- (de) « Bohnenberger Sternwarte wieder offen », Südwestrundfunk, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) MUT Museum der Universität Tübingen, « Schlosslabor - MUT Tübingen », sur www.unimuseum.uni-tuebingen.de (consulté le )
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (de) Stephan Krmnicek, « Antikes Falschgeld und moderne Fälschung antiker Münzen », dans K. Zimmer (ed.), Täuschend echt. Begleitband zur Ausstellung im Museum der Universität MUT, Schloss Höhentübingen, (lire en ligne).
- (de) Gunter Schöbel, « Wer Macht Geschichte? : Katalog einer studentischen Ausstellung zur Sammlung des Institutes für Ur- und Frühgeschichte der Universität Tübingen 1890-2012 », publications du Musée des palafittes d'Unteruhldingen, vol. 8, 9 février - 15 avril 2012 (ISBN 978-3-9813625-6-5, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Ernst Seidl (dir.), Thomas Beck (dir.) et Franck Duerr (dir.), Wie Schönes Wissenschaft, vol. 3, Université de Tübingen, coll. « Schriften der Universität Tübingen Museum », (lire en ligne [PDF]).
- (de) Philipp Aumann et Ernst Seidl, « MUT zum 'KörperWissen'. Aufgaben und Strategien des Museums der Universität Tübingen », dans C. Weber et K. Mauersberger (dirs.), Universitätsmuseen und Sammlungen im Hochschulalltag, Berlin 2010, 119–126 p. (lire en ligne [PDF]).
- (en) Ewa Dutkiewicz, « The Vogelherd Cave and the discovery of the earliest art – history, critics and new questions », dans Nuria Sanz, Human origin sites and the World Heritage Convention in Eurasia, vol. 41, publications de l'UNESCO, , 166 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Der Tübinger Kanon: Wie die antike Skulptur an den Neckar kam », Weltkunst (de), (lire en ligne, consulté le ).
- (de) Ernst Seidl (dir.), Sammlungen der Universität Tübingen MUT, (lire en ligne [PDF]).
- (de) Manuel Flecker, « Sehnen, Sehen, Sammeln und Erinnern. Kavaliersreise und Grand Tour als Motor der Antikenrezeption zwischen dem 16. und 19. Jh. », dans Johannes Lipps et Anna Pawlak (dirs.), Antike im Druck. Zwischen Imagination und Empirie, vol. 17, Tübingen, Université Eberhard Karl de Tübingen, , 38-43 p. (lire en ligne).
- (de) Wolf von Engelhardt et Helmut Hölder, Mineralogie, Geologie und Paläontologie an der Universität Tübingen von den Anfängen bis zur Gegenwart, vol. 20, Franz Steiner Verlag, , 292 p. (lire en ligne).
- (de) I. Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen + Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne).
- (en) Ingmar Werneburg et Madelaine Böhme, chap. 52 « Tübingen: The Palaeontologial Collection of Tübingen », dans Paleontological Collections of Germany, Austria and Switzerland, Springer, , 505-512 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) Markus Walz (dir.), Handbuch Museum : Geschichte, Aufgaben, Perspektiven, Berlin Heidelberg, Springer-Verlag, (ISBN 978-3-476-02375-9, lire en ligne).
- (de) Helmut Brunner et Emma Brunner-Traut, Die Ägyptische Sammlung der Universität Tübingen, Zabern Verlag, (lire en ligne).
- (de + en) Ulrich Veit, chap. 9 « Notizen aus der Provinz : Zu den Anfängen ur- und frühgeschichtlicher Forschung an der Universiät Tübingen. », dans Die Anfänge der ur- und frühgeschichtlichen Archäologie als akademisches Fach (1890-1930) im europäischen Vergleich. Internationale Tagung an der Humboldt-Universität zu Berlin vom 13.-16. März 2003. The beginnings of academic pre- and protohistoric archaeology (1890-1930) in a European perspective. International conference at the Humboldt University of Berlin march 2003, 13-16, Leidorf Verlag, (lire en ligne [PDF]).
Articles connexes
modifier- Collection de paléontologie de l'université de Tübingen
- Collection scientifique
- Liste de musées en Allemagne
Liens externes
modifier- (de) Site officiel
- (de) Collections du musée de l'Université de Tübingen sur Wissenschaftliche Sammlungen in Deutschland
- (de) « Sammlung von Institut für Ur- und Frügeschichte - Keramik von Wasserburg Buchau », sur le site de l'institut de pré- et protohistoire de Tübingen (consulté le ).