Miermaigne

commune française du département d'Eure-et-Loir

Miermaigne est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Miermaigne
Miermaigne
Intérieur de l'église Saint-Pierre
Logo monument historique Inscrit MH (1978)[1].
Blason de Miermaigne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Marc Pétagna
2020-2026
Code postal 28480
Code commune 28252
Démographie
Population
municipale
177 hab. (2021 en évolution de −16,51 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 50″ nord, 0° 59′ 38″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 271 m
Superficie 10,89 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Miermaigne
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Miermaigne
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Miermaigne

Géographie

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Situation

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Miermaigne se situe dans le Perche.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est bordée au sud par la rivière l'Ozanne, affluent en rive droite du Loir, lui-même sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine[2].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 780 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1993 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records MIERMAIGNE (28) - alt : 267 m 48° 15′ 06″ N, 0° 59′ 24″ E
Statistiques établies sur la période 1993-2010 - Records établis sur la période du 01-09-1993 au 15-02-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,8 3,5 5,3 8,7 11,4 13,3 13,5 10,5 8 4,2 1,5 6,9
Température moyenne (°C) 3,5 4,7 7,2 9,8 13,4 16,7 18,8 18,9 15,3 11,5 6,7 3,7 10,9
Température maximale moyenne (°C) 5,8 7,6 10,9 14,4 18,2 22 24,4 24,3 20 15,1 9,3 5,9 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−13,3
01.01.1997
−11,2
12.02.12
−9,9
01.03.05
−2,9
03.04.1996
0,1
08.05.1997
3,2
01.06.06
6,9
12.07.00
6,4
21.08.14
3,7
19.09.07
−2,9
29.10.1997
−8
30.11.10
−11,3
29.12.1996
−13,3
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
15
27.01.03
19
27.02.19
22,5
30.03.17
27,3
30.04.05
29,6
27.05.05
36
29.06.19
39,8
25.07.19
38,3
05.08.03
33
15.09.20
28
01.10.11
21,3
01.11.15
15,4
07.12.00
39,8
2019
Précipitations (mm) 74,5 62,7 58,5 54,5 59,7 52,2 62,1 51,9 54,2 74 68,6 83,2 756,1
Source : « Fiche 28252002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Miermaigne est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), forêts (9,9 %), prairies (3,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Miermaigne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ozanne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[17],[15].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Miermaigne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[18]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 75,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 133 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 109 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Merremaigne vers 1250[22], Morimonia en 1262[23], Mearmaigne en 1472[22], Maiermaigne en 1588[23].

La présence des Marcomans, alliés incertains des Romains, ont laissé des traces dans la toponymie comme dans Marmagne (Cher) et Marmagne (Saône-et-Loire)[24].

Histoire

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Époque moderne

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Aux XVIIe et XVIIIe siècles, en 1648, disette à Miermaigne. En 1709, le blé gèle. En 1749, on note la présence d'un instituteur à Miermaigne.

Le comté de Miermaigne est donné par lettres patentes du roi Louis XVI le en faveur du marquis Gueau de Reverseaux. Un poteau du droit de haute justice du comté, sur lequel s'établit les affichages, est planté au bourg. Premier et dernier comte de Miermaigne, celui-ci est jugé et exécuté sous le gouvernement révolutionnaire le .

À la même époque, Charlemagne de Chabot est le curé de Miermaigne. Il gère la paroisse depuis septembre 1758. Il prête serment à la nouvelle constitution le , est élu maire de la commune qui était paroisse. Il est ensuite expulsé comme réfractaire, écroué à Chartres, sauvé par le dévouement et l'influence de sa nièce Charlotte de Chabot sur Bentabole, conventionnel en mission surnommé « Marat le Cadet »[réf. nécessaire]. Le , apprécié de la population, Charlemagne est rétabli dans ses fonctions de maire.

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Avant 1995 Juillet 2020 Yanick Frapsauce DVG Retraité de l'enseignement
Juillet 2020 En cours Marc Pétagna    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 177 habitants[Note 4], en évolution de −16,51 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
364434414433480481495482464
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
456439435385409417432480443
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
464471487407421378409391319
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
293224189175199202220219226
2017 2021 - - - - - - -
195177-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Pierre

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Ses époques de construction se situent aux XIIe et XVIe siècles,   Inscrit MH (1978)[1].

Ses éléments remarquables sont un retable à fronton brisé, une poutre de gloire constituée d'un arc de pierre surbaissé et un autel de Saint-Gilles de 1676.

Autres lieux

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  • Le Pavillon, propriété privée du XVIIIe siècle.
  • L'arboretum, verger conservatoire créé en 1994 afin de préserver les variétés locales et anciennes, notamment cidricoles (4 hectares).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

écartelé au 1) et au 4) d’azur à la croix potencée d’or cantonnée de quatre croisettes du même, au chef cousu de gueules chargé d’un gland d’or feuillé de deux pièces de sinople en chevron, au 2) et au 3) d’azur au chevron d’or accompagné de trois croissants d’argent.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b « Église Saint-Pierre », notice no PA00097154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ozanne (M1034000) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 28252002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Miermaigne », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Miermaigne », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 738.
  23. a et b Proceedings, vol. 3, Troisième congrès international de toponymie et d’anthroponymie, , p. 604.
  24. Jacques Cellard et Éric Vial, Trésors des noms de famille, des noms de villes et de villages, vol. 2, Éditions Belin/Humensis, (ISBN 978-2-410-01223-1), p. 738.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.