La Chapelle (Savoie)

commune française du département de la Savoie

La Chapelle est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La Chapelle
La Chapelle (Savoie)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité CC du Canton de La Chambre
Maire
Mandat
Charles Costel
2023-2026
Code postal 73660
Code commune 73074
Démographie
Gentilé Châpelains / Châpelaines
Population
municipale
329 hab. (2021 en diminution de 2,95 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 11″ nord, 6° 16′ 43″ est
Altitude Min. 360 m
Max. 2 200 m
Superficie 12,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-de-Maurienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-de-Maurienne
Législatives 3e circonscription de la Savoie
Localisation
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La Chapelle
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La Chapelle
Liens
Site web https://www.lachapelle73.fr

Géographie modifier

Localisation modifier

La Chapelle est une commune de la vallée de la Maurienne en Savoie, située entre Épierre au nord et Les Chavannes-en-Maurienne au sud.

Elle se trouve dans l'Aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne et le bassin de vie de cette ville, ainsi que dans la zone d'emploi de la Maurienne[I 1].

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Épierre, Les Chavannes-en-Maurienne, Montgellafrey, Saint-Léger et Saint-Rémy-de-Maurienne.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 12,28 km2 ; son altitude varie de 360 à 2 200 mètres[1].

Hydrographie modifier

 
Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est limité à l'ouest par le lit de l'Arc, sur l'imposant cône de déjection de la combe Benoît drainée par le ruisseau du Dréron (ou Drairon) descendant du massif de la Lauzière à l'est[2].

L'Arc est un affluent en rive gauche de l'Isère, et donc un sous-affluent du fleuve le Rhône.

Le lac de Gondran est un plan d'eau apprécié des pêcheurs[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 168 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Alban des Hurtières », sur la commune de Saint-Alban-d'Hurtières à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 274,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : une partie de celle du « Le Massif de la Lauzière »[11].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune, celle du Massif de la Lauzière[12] ; et une ZNIEFF de type 2[Note 3], celle des Massifs de la Lauzière et du Grand Arc .

Zones humides modifier

Deux zones humides sont également référencées sur la commune : celle de La Chapelle (1,50 ha)[13] et celle de Saint-Léger (0,13 ha)[14].

Urbanisme modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
 
Carte orthophotogrammétrique de la commune.

Typologie modifier

La Chapelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,9 %), prairies (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), terres arables (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), zones urbanisées (0,2 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

La chapelle compte deux hameaux, hameaux de Tigny et Gondran, établis, comme le bourg, en rive droite de l'Arc.

Habitat et logement modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 218, alors qu'il était de 212 en 2015 et de 204 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 68,3 % étaient des résidences principales, 17,4 % des résidences secondaires et 14,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Chapelle en 2020 en comparaison avec celle de la Savoie et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,4 %) inférieure à celle du département (37 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à la La Chapelle en 2020.
Typologie La Chapelle[I 3] Savoie[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 68,3 57 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 17,4 37 9,7
Logements vacants (en %) 14,2 6 8,2

Voies de communication et transports modifier

 
L'ancienne route nationale surplombée par les voies ferrées.

La commune est principalement traversée par l'ancienne route nationale 6 (actuelle RD 1006) qui relie Le Pont-de-Beauvoisin à la frontière italienne.

Le village est lui desservi par la route départementale 75.

La Chapelle est traversée par la ligne de Culoz à Modane (frontière), un important axe ferroviaire international. La station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Épierre - Saint-Léger, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes, qui effectuent des missions entre les gares de Chambéry - Challes-les-Eaux et de Modane.

L’autoroute A43 passe, elle, sur la rive opposée de l'Arc, sur les communes de Saint-Léger et de Saint-Rémy-de-Maurienne.

Risques naturels et technologiques modifier

Entre 2015 et 2017, La Chapelle a été le siège d'un essaim de séismes ayant généré de nombreux séismes ressentis. La magnitude 3,7 a été atteinte à deux reprises fin [21].

Toponymie modifier

Au cours de la période médiavale, on trouve ecclesia la capelle, puis La Chapelle en 1738[22]. Au cours de l'occupation par les Révolutionnaires français, la commune prend le nom de Les Sillons, puis La Chapelle en Maurienne, en 1818[22].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit La Shapéla, selon la graphie de Conflans[23].

Histoire modifier

Au cours de la période médiavale, la paroisse relève des seigneurs de La Chambre[24].

Jusqu'au XIVe siècle, peut-être après, le territoire comprend deux paroisses avec celle du chef-lieu et celle comprenant le hameau de Tigny[22]. Ce dernier est mentionné en 1278[22].

La communauté obtient son affranchissement, en 1759 par rachat au marquis de La Chambre[24].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la commune est libérée le [25].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis le rattachement de la Savoie à la France de 1860 dans l'arrondissement de Saint-Jean-de-Maurienne du département de la Savoie[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de La Chambre ou du Mandement sarde éponyme[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Jean-de-Maurienne[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Savoie.

Intercommunalité modifier

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, La Chapelle, jusqu'alors commune isolée, rejoint le la communauté de communes du Canton de La Chambre[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 sous le nom de communauté de communes de la Vallée du Glandon et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[26].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1860   Alphonse Assier    
         
mars 1971 mars 2001 Louis Basset PCF  
mars 2001 mai 2020 Jean-Louis Portaz[28],[29] PG[30] Conseiller général de La Chambre (2011 → 2015)
mai 2020[31],[32] février 2023[33] Stéphane Robin Sans étiquette Conseiller municipal de Saumur (2008 → 2014)
Démissionnaire
avril 2023[34] En cours
(au 30 novembre 2023)
Charles Costel   Profession libérale

Instances de démocratie participative modifier

La commune s'est dotée d'un Conseil municipal des jeunes[35].

Population et société modifier

Les habitants sont appelées les Châpelains[22] et les Châpellaines[2].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 329 habitants[Note 6], en diminution de 2,95 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
637667671790854858831799765
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
720766784809812785752753634
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
572476516458434371313259232
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
219239268306311351339330329
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'intercommunalité a aménagé au début des années 2020 la zone d'activité du Vornay sur un terrain de 5 ha situé au nord de la commune, dont le premier lot est utilisé pour les besoins du chantier du[39],[40].

A la ferme Laymond, au hameau de Gondron, est fabriquée de la Tomme de Savoie et du Gruyère français[41].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Philibert, située au chef-lieu, construite vers 1700, puis reconstruite au début du siècle suivant[42]. Fermée au public, elle est dotée d'un retable baroque remarquable[41].
  • L’oratoire de saint Antoine de Padoue, situé entre le bourg et le hameau de Gondran, a été reconstruit en 1863. Il est le lieu de nombreuses légendes[43],[41].
  • La chapelle de Saint-Bernard de Menthon, au hameau des Moulins, reconstruite au XIXe siècle[44]. Elle a conservé de l'édifice précédent un tableau représentant son saint patron[41].
  • Le château branlant.
  • Monument aux morts[45]
  • Nombreux chemins de randonnée, notamment vers le massif de la Lauzière[41].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 80-83. ([PDF] lire en ligne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b « Mairie de La Chapelle », sur http://www.maurienne.fr/.
  3. Henri-Marc Gauthier, « Au bout du chemin des Écrevisses, le lac de Gondran renaît », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le lac de Gondran, lieu prisé des pécheurs de Maurienne, avait besoin d’un bon nettoyage. C’est chose faite grâce au soutien financier de la Région et du Département. L’inauguration des nouveaux aménagements a eu lieu ce samedi 25 mai ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre La Chapelle et Saint-Alban-d'Hurtières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Alban des Hurtières », sur la commune de Saint-Alban-d'Hurtières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saint-Alban des Hurtières », sur la commune de Saint-Alban-d'Hurtières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  11. « S17 - Massif de la Lauzière », Site Natura 200, sur http://www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  12. « ZNIEFF type 1 », sur http://www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « Zone Humide de La Chapelle », Actualisation de l'inventaire des zones humides situées sur la commune de : LA CHAPELLE, sur http://www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
  14. « Zone Humide de St-Léger », Actualisation de l'inventaire des zones humides situées sur la commune de : LA CHAPELLE, sur http://www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. « En Maurienne, l’essaim sismique identifié depuis octobre 2017 », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  22. a b c d et e Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 80.
  23. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 23
  24. a et b Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 80, « L'histoire et l'archéologie ».
  25. Henri-Marc Gauthier, « Libération de la vallée : les cérémonies ont commencé », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  26. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  27. « Les maires de Chapelle (La) », sur https://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=19340 (consulté le ).
  28. Henri-Marc Gauthier, « Jean-Louis Portaz, maire honoraire », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  29. « Carnet de deuil : Jean-Louis Portaz », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  30. « La Chambre (74) : Jean-Louis Portaz réélu », France 3 Alpes ,‎ 20/2/2012 mis à jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Le maire de La Chapelle, candidat du Front de Gauche, a été réélu conseiller général ce dimanche 19 février ».
  31. Henri-Marc Gauthier, « La nouvelle équipe municipale est connue », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Après plusieurs mandats, Jean-Louis Portaz a souhaité céder l’écharpe de maire ».
  32. Henri-Marc Gauthier, « Stéphane Robin, maire de La Chapelle : « le maire doit faire bouger les lignes », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Pour faire plus ample connaissance avec les nouveaux maires de la vallée, nous allons à la rencontre de ceux qui découvrent la fonction. Aujourd’hui, Stéphane Robin, 50 ans, maire de La Chapelle ».
  33. Henri-Marc Gauthier, « La Chapelle : pourquoi le maire Stéphane Robin démissionne », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  34. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  35. « Des projets plein la tête pour le conseil municipal des jeunes », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « À peine arrivés, les jeunes élus de la commune s’affirment comme force de propositions en soumettant plusieurs idées au Département. Parmi lesquelles, une restructuration du lac de Gondran ».
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Henri-Marc Gauthier, « La Chapelle: 5 hectares d’un seul tenant à exploiter au Vornay », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Le développement économique relève de la compétence de la 4C (Communauté de communes du canton de La Chambre), mais pour son maire Stéphane Robin, la commune de La Chapelle se devait de prendre sa part »
  40. Henri-Marc Gauthier, « La première installation du Vornay servira le Lyon-Turin », Le Dauphiné libéré,‎ 15/2/2023 mis à jour le 16/6/2023 (lire en ligne  , consulté le ).
  41. a b c d et e « La Chapelle », Les communes, sur https://www.tourisme-la-chambre.com (consulté le ).
  42. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 81, « L'église Saint-Philibert ».
  43. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 82, « Légende de l'oratoire de saint Antoine de Padoue ».
  44. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 81, « La chapelle des Moulins ».
  45. « Le monument aux morts va être déplacé », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne  , consulté le ).