Guglielmo de Sanctis
Guglielmo de Sanctis, né le et mort le [1], est un peintre italien.
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italienne ( - |
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Erminia de Sanctis (sa sœur) |
Biographie
modifierElève de Tommaso Minardi à l'Accademia di San Luca à Rome, il a écrit une biographie sur son maître[2]. Il a également passé un peu de temps dans le studio de Cesare Marianecci à Florence.
Au début de sa carrière, il peint des thèmes religieux et historiques, dans un style très influencé par le mouvement Purismo de son maître, une incarnation italienne du mouvement Nazaréen. Plus tard dans la vie, il se consacre à une carrière plus rentable en tant que portraitiste; parmi ses sujets figurent le roi Umberto I d'Italie et son épouse Marguerite de Savoie[3], l'empereur du Brésil, Napoléon Carlo Bonaparte (Napoléon Joseph Charles Paul Bonaparte?), le dramaturge Giacinto Gallina, le comte Terenzio Mamiani; Antonio Rosmini; N. Tommasso, l'écrivain d'art Pietro Selvatico, le politicien Vincenzo Gioberti, le marchand Giovan Pietro Vieusseux, le diplomate Constatino Nigra, Gioachino Rossini et de nombreuses personnalités italiennes aristocrates et d'autres artistes dont Filippo Palizzi et Bernardo Celentano.
Parmi ses peintures religieuses figurent une Visite de l'église de Guadalupa (1854), une Conférence de saint Vincent de Paul pour l'église de la Santissima Trinità (1855) à proximité de Montecitorio, et des fresques pour l'église de San Paolo (1860), représentant le Sermon de Saint Paul dans la Synagogue et Saint Paul à Damas. Il a également peint un Sermon de saint François de Sales pour la cathédrale de Porto Maurizio et des sujets bibliques pour l'hôpital de Santo Spirito e Fatebenefratelli à Rome.
En 1865, il expose une grande toile historiques représentant Michel-Ange et Francesco Ferrucci maintenant dans le Musée Civique de Turin.
Texte anglais à traduire :
He gained the commission of painting genre scenes in the gallery of the Castello di Rivoli. he was awarded a prise at the exposition in Rome of 1874. He also painted a Galileo demonstrates the use of a telescope to Venetian Signoria (circa 1867) and a canvas depicting Donna Olimpia Pamphili, sent to the International Exposition in Berlin in 1891 (now in Galleria nazionale d'arte moderna in Rome).
Traduction du texte anglais :
proposition de traduction
Il devient un membre honoraire de l'Academia di San Luca, et reçoit du gouvernement des postes de juge ou représente le pays à de nombreuses expositions d'art dans le pays et à l'étranger. En 1901, il publie un recueil d'essais intitulé Memorie: studi dal vero[4] Parmi les sujets figurent Gioacchino Rossini, Aleardo Aleardi, Giacomo Leopardi, Alessandro Manzoni, Michel-Ange, l'Exposition de Milan en 1872, Bernardo Celentano, l'Exposition d'Anvers 1885, Cesare Maccari, Francesco Podesti, et Agli alunni delle scuole d'arte applicata all' industria e alcune poesie.
Références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Guglielmo de Sanctis » (voir la liste des auteurs).
- (it) Acte de décès no 1331 de la série 1 de Guglielmo de Sanctis du registre des décès de l'année 1911 de la commune de Rome L'acte a été rédigé le 7 mars 1911 et il est mort le 6 mars 1911, en ligne sur le site web des archives d'état civil de l'Italie.
- Guglielmo De Sanctis, Tommaso Minardi e il suo tempo, Forzani E. C., Tipografi del Senato Rome, 1899.
- Entrée de l'Encyclopédie Treccani.
- Mémoires: studi dal vero
Annexes
modifierBibliographie
modifier- (en) « Guglielmo de Sanctis », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
- (en) Grove Art Online, Oxford University Press, (ISBN 9781884446054, lire en ligne)
Liens externes
modifier- Ressources relatives aux beaux-arts :