Discussion:Logique ternaire

Dernier commentaire : il y a 7 ans par Lf69100 dans le sujet Convention et Exemples
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Quid de A implique B dans ce modèle ?

modifier

Quid de A implique B dans ce modèle ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 13 septembre 2011 à 23:24 92.148.235.125 (discuter)

Je l'ai ajouté, tout simplement en utilisant la règle : A => B eq (non A) ou B N'hésitez pas à vérifier/ me relire . C'est en effet un connecteur qui mérite de figurer. --Epsilon0 ε0 14 septembre 2011 à 18:32 (CEST)Répondre

L'article anglais semble beaucoup plus complet

modifier

L'article anglais détaille différentes formes de « logique ternaire » et semble bien plus complet et sourcé ... Pano38 (discuter) 14 juillet 2016 à 10:29 (CEST)Répondre

Convention et Exemples

modifier
  • On peut noter conventionnellement : "0" pour faux, "1" pour vrai, "*", "?" ou "Ø" pour indéterminé. Alors 0 < Ø < 1, Ø étant compatible avec 0 et 1
  • En logique pure, si on recherche une propriété P pour un objet x, une condition nécessaire CN(x) tranche entre le possible et le faux, une condition suffisante CS(x) tranche entre le vrai et le possible, seule la "nécessaire et suffisante" CNS(x) tranchant entre vrai et faux.
  • Quand dans un domaine D on a divers procédés heuristiques de recherche d'optimum, la question de l'optimalité d'un procédé introduit 3 ensembles de cas :
  1. ceux où le procédé est inapplicable
  2. ceux où le procédé est applicable sans garantie d'optimalité
  3. ceux où le procédé fournit l'optimum
  • En matière de tables de décision, repérer les indéterminations peut mener soit à des questionnaires tolérant les NSP soit à des questionnaires minimaux exploitant les interdépendances entre questions.
  • En électronique numérique, on a souvent des fonctions booléennes partielles, par exemple en traitant du Décimal Codé Binaire, avec 10 cas définis sur 16 ; on convient alors, un peu comme en logique floue, que la fonction f à réaliser, trivalente, possède un support booléen sup(f) et un noyau booléen inf(f) tels que
inf(f) = (si f(x)=1 alors 1 sinon 0) < f() < sup(f) = (si f(x)=0 alors 0 sinon 1).

Alors, une réalisation booléenne optimale de f(x) est la réalisation optimale d'une fonction booléenne g(x) respectant les mêmes bornes. Soit, pour n indéterminations, 2^n fonctions g possibles (J. Kuntzmann, Algèbre de Boole, Dunod, 1968). Cette propriété est implicitement employée avec les diagrammes de Veitch-Karnaugh, en "annexant au mieux" les cas indéterminés aux cas déterminés.

Peut-être faut-il remanier la page dans ce style ? --Lf69100 (discuter) 9 février 2017 à 11:10 (CET)Répondre

Revenir à la page « Logique ternaire ».