Chronologie des alternatives (1981 à 2000)

On trouvera ci-après la chronologie des alternatives, entre 1981 et 2000, des matadors ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].

1981 modifier

1982 modifier

  • 18 avril : Antonio Urrutia (Mexicain). Mexico, plaza « México ». Parrain, Manolo Martínez ; témoin, Miguel « Armillita » ; taureaux de la ganadería de Manolo Martínez.

1983 modifier

1984 modifier

1985 modifier

  • 18 mai : Nicolás Nossa (Colombien). Bogota (Colombie). Parrain, Joselito Castro ; témoin, Leonidas Manrique ; taureaux des ganaderías de El Manzanal et Alberto Cediel.

1986 modifier

1987 modifier

1988 modifier

1989 modifier

  • 20 mai : Francisco Reyes (es) (Équateurien). Aracena (Espagne, province de Huelva). Parrain, Manuel Moreno ; témoin, Marcos Valverde ; trois taureaux de la ganadería du marquis de Domecq, deux de celle de los hijos de don Bernardino Giménez Indarte et un de celle de Fermín Bohórquez, celui de la cérémonie étant de la première.

1990 modifier

1991 modifier

  • 25 août :
    • César Pérez (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain, Enrique Ponce ; témoin, Antonio Manuel Punta ; taureaux de la ganadería de Antonio Pérez de San Fernando.
    • Julián Calderón Guerrero « El Jato » (Espagnol). Tarragone (Espagne). Parrain, Antonio Mondéjar (pas de témoin, la corrida étant une corrida mixte complétée par le novillero Luis Delgado) ; taureaux de la ganadería de los Hermanos Santamaría López. (« El Jato » était né en 1939 ; au cours de sa – longue – carrière de novillero, il avait successivement utilisé les apodos de « Julián de Badajoz », « Julián Guerrero » et « Guerrero Calderón ».)

1992 modifier

1993 modifier

1994 modifier

1995 modifier

1996 modifier

1997 modifier

1998 modifier

1999 modifier

  • 1er août : Mario Coelho (Portugais). Barcelone (Espagne). Parrain, « El Tato » ; témoin, Alberto Ramírez ; deux taureaux de la ganadería de María Lourdes Martín, un de celle de Los Bayones, un de celle de Sepúlveda et deux de celle de El Sierro. (Celui de la cérémonie était de celle de María Lourdes Martín.)

2000 modifier

  • 25 juin : Gilles Marsal (Français). Gimont (France, département du Gers). Parrain, Richard Milian ; témoin, « El Fundi » ; taureaux de la ganadería de los Herederos de Salvador Guardiola Fantoni.

Sources modifier

Voir aussi modifier

Notes modifier

  1. Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.
  2. Selon certaines sources, le prénom serait « Domingo ».