Élection sénatoriale française partielle

Une élection sénatoriale partielle en France se déroule en dehors de toute campagne nationale et de l'échéance prévue normalement.

Le remplacement d'un sénateur modifier

Lorsqu'un sénateur décède, accepte des fonctions de membre du gouvernement ou de membre du conseil constitutionnel ou se voit prolonger au-delà de six mois dans une mission temporaire conférée par le gouvernement, il est remplacé soit :

  • par son suppléant, dans le cas d'un scrutin majoritaire[1],
  • par le candidat venant sur une liste immédiatement après le dernier candidat élu, dans le cas d'une élection proportionnelle[2].

L'article L.O. 322 du code électoral prévoit les cas où le remplacement d'un sénateur doit s'effectuer à la suite d'une élection partielle : « En cas d'annulation des opérations électorales d'une circonscription, dans les cas de vacance autres que ceux visés à l'article L. O. 319 ou lorsque les dispositions des articles L. O. 319 et L. O. 320 ne peuvent plus être appliquées, il est procédé à des élections partielles dans un délai de trois mois. »[3]

Liste des élections sénatoriales partielles modifier

MI = site du ministère de l'Intérieur

Élections sénatoriales françaises partielles en 2005 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2007 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2012 modifier

  • Lozère, le , à la suite de l'invalidation des élections de  ;
  • Nièvre, le , à la suite de la démission de Didier Boulaud.

Élections sénatoriales françaises partielles en 2014 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2015 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2017 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2018 modifier

Élections sénatoriales françaises partielles en 2024 modifier

Notes et références modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier