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L’Abitibi-Témiscamingue est une région administrative de l'ouest du Québec. Elle est composée de 5 municipalités régionales de comté (MRC) et de 79 municipalités. Son économie dépend principalement de l'exploitation forestière dans les MRC d'Abitibi, d'Abitibi-Ouest et de Témiscamingue, des mines tout le long de la faille de Cadillac, entre Val-d'Or et Rouyn-Noranda, ainsi que de l'agriculture dans les MRC de Témiscamingue et Abitibi-Ouest.

Lumière sur
Le cardinal Marc Ouellet décoré de l'Ordre de Vasco Núñez de Balboa, le 28 novembre 2012
Le cardinal Marc Ouellet décoré de l'Ordre de Vasco Núñez de Balboa, le 28 novembre 2012

Marc Ouellet (né le à La Motte) est un homme d'Église canadien membre de la Curie romaine. Depuis juin 2010, il occupe les fonctions de préfet de la Congrégation pour les évêques et de président de la Commission pontificale pour l'Amérique latine. En 2003, il fut créé cardinal. Il fut primat du Canada et archevêque de Québec de 2003 à 2010.

Marc Ouellet est né au sein d'une famille de huit enfants. Il fit ses études collégiales ainsi que deux ans de philosophie à l'École normale d'Amos de 1959 à 1964 à la fin desquelles il reçut un baccalauréat en pédagogie de l'Université Laval. Ensuite, il fit ses études théologiques au Grand Séminaire de Montréal de 1964 à 1968 pour recevoir une licence en théologie de l'Université de Montréal.

Municipalité

Pikogan est une réserve indienne algonquine bordée par la rivière Harricana et enclavée dans la ville d'Amos. La réserve fut constituée en 1956 sous le nom de Village-Pikogan.

En 1964, plusieurs résidents vivaient encore dans des tentes, expliquant ainsi l'origine du nom qui signifie tente de peau ou tipi en langue algonquine. Une petite église, dirigée par les Oblats, fut érigée en 1967 en forme de tipi.

Les résidents de la réserve de Pikogan sont des membres de la bande de Abitibiwini d'origines algonquiennes. Ils furent identifiés pour la première fois sous la dénomination de Nation des Abbittibbis dans des documents datant du XVIIIe siècle. Le recensement de 2006 y dénombre 487 habitants, soit 9,9% de plus qu'en 2001.

Les activités principales sur la réserve sont le piégeage, le tourisme, la foresterie et les mines.

Les langues parlées dans la réserve sont : le français, l'anglais et l'algonquin, encore parlé par quelques anciens.

 
Image aléatoire
Église de Rapide-Danseur, construite avec des pierres des champs dans les années 1940,
classée bien culturel du Québec le
Le saviez-vous ?
  • L'Abitibi-Témiscamingue compte près de 20 000 lacs.
  • La rivière Harricana compte 170 km de voie navigable.
  • Des thuyas vieux de plus de 500 ans poussent sur les îles du lac Duparquet.