James Hutchison Stirling

philosophe britannique

James Hutchison Stirling, né à Glasgow le – mort à Édimbourg le , est un philosophe écossais. Il étudie la médecine qu'il pratique jusqu'à la mort de son père en 1851 après quoi il se consacre à la philosophie[1].

James Hutchison Stirling
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
ÉdimbourgVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Enfants
Amelia Hutchison Stirling (d)
Florence Hutchison-Stirling (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Vue de la sépulture.

Son livre The Secret of Hegel (1865) donne une grande impulsion à l'étude de la philosophie hégélienne tant en Grande-Bretagne qu'aux États-Unis, et fait également autorité en Allemagne et en Italie[1].

Frederick Copleston (A History of Philosophy vol. VII, p. 12) écrit ...« nous pouvons être tentés de sourire à l'image de J.H. Stirling de Hegel comme le grand champion du christianisme ».

Publications (sélection) modifier

Ouvrages :[1]

  • Sir William Hamilton (1865)
  • The Secret of Hegel (1865)
  • Text-book to Kant (1881)
  • Philosophy and Theology (1890) (Gifford Lectures)[2]
  • Darwinianism: workmen and work (1894) - Dans ce travail Stirling rassemble des points de vue sur la théorie de l'évolution de Darwin, dont celle de Thomas Brown et d'autres et déclare : « C'est la théorie qu'il m'appartient, avec tous les honneurs, de réfuter et « il n'est en aucune façon nécessaire qu'un évolutionniste soit aussi un darwinien ».
  • What is Thought? or the Problem of Philosophy (1900)
  • The Categories (1903).

More a également publié des ouvrages relatifs à la littérature :

  • Jerrold, Tennyson, and Macaulay (1868)
  • Burns in Drama (1878)
  • Philosophy in the Poets (1885).

Notes et références modifier

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