Environnement au Panama

L'environnement au Panama est l'environnement du Panama, un pays d'Amérique Centrale.

C'est l’un des pays les plus diversifiés au monde sur le plan écologique, jouant ainsi un rôle central dans la préservation de la biodiversité et l’atténuation du changement climatique. Néanmoins, le Panama n’a pas été épargné par le développement incessant des activités humaines.

La biodiversité au Panama modifier

 
Image satellite du Panama.

Le Panama abrite de vastes étendues de forêts tropicales et de mangroves dans lesquelles évoluent pas moins de dix milles espèces de plantes et d’animaux, tels que le jaguar et l’ours à lunettes.

Milieux modifier

Le climat du Panama peut être défini comme tropical. Les températures nocturnes sont comprises entre 21 °C et 25 °C, contre 28 °C à 34 °C en journée. L'humidité reste comprise entre 50 % et 90 %. Les reliefs de la côte caribéenne sont, en moyenne, plus exposés aux précipitations que ceux de la côte pacifique. Les pluies abondantes (1 100-3 600 mm par an) et l'humidité toujours élevée, participent au développement d'une flore luxuriante sur l'ensemble du territoire panaméen.

La forêt tropicale du Panamá est préservée et présente une richesse florale exceptionnelle.

Faune et Flore modifier

 
Végétation du Panama, 1981

Le territoire tropical de Panama accueille un grand nombre de plantes et 40 % du territoire sont recouverts de forêts malgré une réduction de moitié depuis les années 1940. La majeure partie de l'agriculture, de subsistance, est composée de maïs, de haricots et de divers tubercules. Les terres arables sont principalement situées dans le nord-est et le sud-ouest du pays. La principale culture d'exportation est la banane dont la production recouvre la majeure partie des deux côtes.

Aires protégées modifier

Impacts sur les milieux naturels modifier

Activités humaines modifier

Exploitation forestière modifier

Agriculture modifier

 
Activités économiques du Panama, 1981

Chasse et braconnage modifier

Gestion des ressources modifier

Gestion de la ressource en eau modifier

Le canal de Panama, long de 79,6 km, qui traverse le pays du Nord au Sud, fonctionne à l'aide d'écluses alimentées en eau douce. 200 000 m3 sont nécessaires pour chaque passage de bateau (40 par jour avant restrictions en 2023). En raison de la sécheresse qui s'accroit dans la région, le Pays a du diminuer le trafic quotidien, pour limiter la quantité d'eau douce utilisée[1].

Pression sur les ressources non renouvelables modifier

Pollutions modifier

Les émissions de gaz à effet de serre (GES) modifier

La pollution de l'air modifier

La pollution de l'eau modifier

La gestion des déchets modifier

Impacts de l'urbanisation modifier

L'exposition aux risques modifier

Risques naturels modifier

Risques technologiques modifier

Politique environnementale au Panama modifier

Accords internationaux modifier

Politique nationale modifier

En 2022, le pays a adopté une loi reconnaissant notamment à la nature les droits d’exister, d’évoluer et de se régénérer[2].

Acteurs locaux, ONG... modifier

Évaluation environnementale globale modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. (en) Francisco JARA, « Drought-hit Panama Canal must 'adapt or die' as water levels drop », sur phys.org, (consulté le ).
  2. W.D, « Le Panama reconnait à la nature le droit d’exister ! », sur mrmondialisation.org, (consulté le ).

Bibliographie modifier