Discussion:Madeleine de Souvré/LSV 22292
Dernier commentaire : il y a 1 an par GhosterBot dans le sujet Honni soit qui mal y pense...
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Archivage de la discussion modifier
Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.
Honni soit qui mal y pense... modifier
03 mai 2023 à 10:46:18 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant 2 avis modélisés, le bot a estimé une décision d'acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (100%). Pour notifier les participants : {{Notif|92.184.102.175|Bertrouf}}
Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par 92.184.102.175 le 2023-04-18 14:49:00, a été certifiée par Bertrouf au niveau d'une source directe et validée par Bertrouf. Elle va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil :
- Un texte de la salonnière Madeleine de Souvré sur les dangers du théâtre fut longtemps tenu pour une des Pensées de Blaise Pascal, et édité comme tel jusqu'en 1960.
Proposant : 92.184.102.175 (discuter) 18 avril 2023 à 14:49 (CEST)
Discussion :
- « Longtemps », cela fait combien de temps ? Cent ans ? Cent cinquante ans ? Deux cent cinquante ans ? Plus ? On aimerait bien avoir plus de précisions dans l'article.-- Cbigorgne (discuter) 18 avril 2023 à 17:44 (CEST)
- Cbigorgne : j'ai précisé, source à l'appui ! Cordialement, 92.184.102.175 (discuter) 19 avril 2023 à 00:12 (CEST)
- La pensée N°81. , toujours partant pour mettre une femme à l'honneur. Bertrouf 20 avril 2023 à 11:38 (CEST)
- Ça donne envie de lire ce texte. Est-il sur Wikisource ? --l'Escogriffe (✉) 2 mai 2023 à 21:06 (CEST)
- « Tous les grands divertissements sont dangereux pour la vie chrétienne, mais entre tous ceux que le monde a inventés il n’y en a point qui soit plus à craindre que la comédie, c’est une représentationsi naturelle et si délicate des passions qu’elle les émeut et les fait naître dans notre cœur et surtout celle de l’amour, principalement lorsqu’on le représente fort chaste et fort honnête, car plus il paraît innocent aux âmes innocentes, plus elles sont capables d’en être touchées ; sa violence plaît à notre amour‑propre qui forme aussitôt un désir de causer les mêmes effets que l’on voit si bien représentés, et l’on se fait au même temps une conscience fondée sur l’honnêteté des sentiments qu’on y voit, qui ôtent la crainte des âmes pures, qui s’imaginent que ce n’est pas blesser la pureté d’aimer d’un amour qui leur semble si sage.
- Ainsi l’on s’en va de la comédie le cœur si rempli de toutes les beautés et de toutes les douceurs de l’amour, et l’âme et l’esprit si persuadés de son innocence qu’on est tout préparé à recevoir ses premières impressions, ou plutôt à chercher l’occasion de les faire naître dans le cœur de quelqu’un pour recevoir les mêmes plaisirs et les mêmes sacrifices que l’on a vus si bien dépeints dans la comédie. » Bertrouf 3 mai 2023 à 09:48 (CEST)[1]
Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001)
4 mai 2023 à 01:01 (CEST)