Discussion:Alexandre Martin/LSV 15036

Dernier commentaire : il y a 6 ans par GhosterBot dans le sujet L'ouvrier Albert
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Archivage de la discussion modifier

Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.

L'ouvrier Albert modifier

  Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Nomen ad hoc, a été validée par Erik Bovin et va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil après un passage dans l’antichambre Politique en France :


Proposant : NAH, le 24 février 2018 à 16:32 (CET)Répondre

Discussion :
  archi connu ! Mike the song remains the same 24 février 2018 à 17:15 (CET)Répondre

Mais bien sûr  . NAH, le 24 février 2018 à 17:39 (CET).Répondre
Pour qn. qui connait rien au XIXè évidemment c'est pas connu ... Mike the song remains the same 24 février 2018 à 17:52 (CET)Répondre
Évidemment......... (Je n'ose imaginer que j'étais visé, bien entendu  .) NAH, le 24 février 2018 à 18:12 (CET).Répondre
  Je connais l'histoire de « l'ouvrier Albert », mais aussi, celle de « l'ouvrier Martin » et je me demande si, dans l'article en question, il n'y a pas confusion entre les deux, car la rue Martin située dans le XIIIème arrondissement de Paris, citée dans l'article sur Alexandre Martin ne lui est pas dédiée, mais plutôt à l'ouvrier Martin alias Martin Bernard. De plus, si le titre de commissaire général de la République peut être considéré comme celui d'un membre du gouvernement en 1848 (ce qui fut le cas de l'ouvrier Martin), cela pourrait signifier que l'ouvrier Albert n'aurait pas été le seul prolétaire, membre du gouvernement.--JPC (discuter) 24 février 2018 à 21:16 (CET)Répondre
En fait, non, il n'y a pas de confusion, les deux rues (rue Albert et rue Martin-Bernard) existent bel en bien à Paris, dans le même arrondissement ! Par contre, je confirme l'ouvrier Martin Bernard fut, là aussi, bel et bien commissaire général du gouvernement en 1848. Alors ? --JPC (discuter) 24 février 2018 à 21:37 (CET)Répondre
  J'ai renforcé le sourçage.   Jean-Paul Corlin : C'était le sujet d'une autre anecdote récente, les commissaires de la République (si tel était bien le titre de l'ouvrier Martin) étaient l'équivalent des préfets et non pas des membres du gouvernement. --EB (discuter) 27 février 2018 à 15:38 (CET)Répondre
Oui, merci bien, EB, en tant qu'ancien élève d'une école de la FP, je sais ce qu'est un commissaire de la république, mais, je ne parle pas de ça. J'évoque les commissaires généraux du gouvernement qui géraient souvent plusieurs départements au nom du GPRF de 1848, à l'instar de ceux du GPRF de 1944, qui à l'époque étaient considérés comme l'équivalent de ministre (voir l'article) et donc de membre du gouvernement.--JPC (discuter) 27 février 2018 à 17:12 (CET)Répondre
Cette biographie de l'intéressé ne semble pas faire de distinction entre les deux types de commissaires. --EB (discuter) 27 février 2018 à 17:27 (CET)Répondre

Justement, ce livre est très clair (et très intéressant); Martin Bernard est une sorte de commissaire extraordinaire (voir cet article sur WP) qui couvre quatre départements et qui vient donc, en quelque sorte, superviser les vrais commissaires départementaux précédemment nommés comme Emmanuel Arago à Lyon. Ce rôle est-il celui d'un simple fonctionnaire où d'un membre officiel du gouvernement ? On a le début d'une réponse avec l'article sur Joseph Sobrier qui fut, lui aussi (très briévement) commissaire extraordinaire à la préfecture de police de Paris, et qui, dans l'article qui lui est consacré est présenté comme membre du gouvernement, alors qu'il n'apparaît pas dans la liste (non exhaustive) de l'article concernant ce même gouvernement provisoire... Que penser ? J'ai une carte d'accès aux services des archives du Rhône et peut-être y-a-t-il, là bas, la réponse, mais bon, je n'y vais pas tous les jours. Il reste donc un doute. --JPC (discuter) 27 février 2018 à 21:09 (CET)Répondre

@ Erik Bovin, Jean-Paul Corlin. Quelques précisions dans l'introduction des Préfets du 11 ventôse an VIII au 4 septembre 1870 (Archives nationales, 1981) :

« Y trouvent également leur place, en raison de leur fonction de représentant de l'État entre février et juin 1848 [...], les commissaires du gouvernement provisoire (quelle que soit leur appellation : commissaire général, de la République, adjoint, délégué...) à compétence départementale [...] ; en observant cependant que l'expression de « commissaire général » désigne indifféremment, au lendemain des journées de février, tous les commissaires de département, mais qu'au fil des semaines l'usage tend à en restreindre l'emploi aux commissaires dotés des pouvoirs les plus étendus, à compétence interdépartementale. »

L'ouvrage n'évoque pas à leur sujet une hypothétique qualité de membres de gouvernement.
La notice sur Martin, pas plus (alors que l'introduction précise qu'est mentionné tout « exercice d'une activité ministérielle »).
NAH, le 4 mars 2018 à 16:18 (CET).Répondre
Il me semble que les sources concordent, je ne vois pas d'obstacle réel à la validation. --EB (discuter) 11 mars 2018 à 10:21 (CET)Répondre
Si, le sieur Coppolano a dit que c'était trop connu  . NAH, le 11 mars 2018 à 13:10 (CET).Répondre
Bon, trêve de plaisanterie. Jean-Paul Corlin : je me permets une seconde notif. (en espérant ne pas vous importuner) ; pourriez-vous SVP confirmer ou repréciser votre avis, à l'aulne des éléments nouveaux ? NAH, le 11 mars 2018 à 22:41 (CET).Répondre
Va pour le « premier ». En effet, s'il a bien été nommé le 24 février, cela reste incontestable ǃ --JPC (discuter) 12 mars 2018 à 08:28 (CET)Répondre


Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001) 12 mars 2018 à 13:07 (CET) Répondre

  Nomen ad hoc :   ton anecdote proposée le 2018-02-24 16:32:00 a été acceptée. GhosterBot (10100111001) 12 mars 2018 à 13:07 (CET)Répondre

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